VALLS II - LES NULS AU POUVOIR

LES NULS AU POUVOIR - LE GOUVERNEMENT VALLS II.

INTRODUCTION BBR

     Combien  de fois ai je répété dans les différents articles,  la nullité de nos traîtres gouvernants en commençant par hollande. 

     Aucune prestance, aucune expérience, combien de fois ai je dit que la dissolution de l assemblée semblait être peut être  la meilleure solution et combien de fois ai je dit que le départ de hollande serait la meilleure chose qui pourrait arriver à la France, notre pays.

     Tous les membres du gouvernement en place et ( à venir sans aucun doute) sont nuls, le socialisme en lui même est nul et très loin de peuple comme il le prétend. Les socialistes du gouvernement  sont tous riches comme crésus et se foutent bien des Français. 

     Après la claque des élections municipales, le remaniement n a déjà servi à rien, il n a même pas servi de leçon,  il y a eu ensuite une deuxième claque aux Européennes qui n a servi à rien non plus et maintenant ce coup de tonnerre avec une équipe valls II qui ne servira à rien non plus, et je doute que la mauvaise taubira fasse ses valises.  

         ON APPELLE CA CHASSER DES BORGNES POUR Y METTRE DES AVEUGLES.

     Dans tous les cas de figures et avec n importe qui au gouvernement,  la politique voulue par hollande ne changera pas, il gardera son inflexible cap, car n ayant aucune expérience, il n a que cela dans sa boite à outils, si bien qu il ne connait que des échecs dans tous les domaines, et ce n est pas la multiplication des premiers ministres qui le fera évoluer dans ses décisions toutes aussi mauvaises les unes que les autres Un âne reste un âne pour la vie

     La seule décision respectable qu il pourrait éviter qu il ne tombe à 0% serait qu il quitte de lui même la présidence, Pouvoir qu il est incapable d assumer. De Gaulle l a fait pourquoi pas lui.

     Même le Pape qui ne se sentait plus d assumer sa mission à démissionner, mais le Pape est surement beaucoup plus intelligent.

     L incompréhensible revient cependant à tous les électeurs qui n avait pas compris l impuissance du socialisme sous l ère mitterrandesque ( 14 ans) et qui ont remis une couche avec plus nul que lui tu meurs. Même lors des primaires il avait été critiqué par ses semblables. Souvenez vous de la phrase de aubry " c est une couille molle" ou de Ségolène ROYAL, " il n a jamais rien fait de sa vie" et les critiques de fabius du sang contaminé. 

                              Osons espérer qu il n y aura plus jamais ça

     CE QU IL NOUS FAUT C EST UN HOMME OU UNE FEMME QUI PENSE A LA FRANCE    ET AUX FRANÇAIS AVANT TOUT ET NON PAS A SES INTÉRÊTS OU CEUX DE SES PROCHES

  LA QUESTION EST : Y EN A T IL UN OU UNE ??

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     Ah quel coup de théâtre, quel coup de tonnerre en cet été finissant ! Exit Valls I, voici Valls II ! La France est sauvée !!!

     On nous rebattait les oreilles ces jours-ci de la "Fronde" qui agitait violemment les grands penseurs et théoriciens économiques aux manettes de la France... On en oubliait presque que ce petit monde n'est plus suivi que par 17 % des Français (après avoir quand même réuni 18 millions de suffrages en mai 2012, je ne me lasserai jamais de le rappeler).

     Comme si de ce "combat titanesque" allait surgir la lumière...

     A ma droite, donc, le clan Hollande - Valls, suivi par le gros du troupeau de la "gôche réformiste". Sans grandes convictions, une incapacité congénitale et permanente à comprendre le monde contemporain, une incompétence abyssale en économie et une profonde méconnaissance du monde du travail et de l'entreprise. Mais en revanche une grande expérience de l'improvisation à l'aveugle (aux frais des contribuables). Appelons-les : "Légitimistes".

     A ma gauche, les "Frondeurs", menés par le flamboyant Montebourg flanqué de Benoît Hamon qu'on verrait plus dans le rôle d'un curé défroqué un peu vicieux que dans celui de Ministre de l'Education Nationale. 

     En seconds rôles, on trouve aussi la mère Filippetti - celle de la France "moisie" - et Taubira la sorcière, qui rêve de détruire ce qui reste de notre pays. 

     Cette belle équipe représente, nous disent les médias, la "gauche" du PS (diantre), mais est aussi lorgnée avec concupiscence par un PC moribond, des mélanchoniens hargneux et les bobo-écolos qui imaginent encore qu'il est interdit d'interdire et qu'on devrait prolonger le boulevard St Michel jusqu'à la mer (sous les pavés la plage...) en s'éclairant à la lampe à huile et en restaurant la marine à voile (et à vapeur). 

     Ces "Frondeurs" sont tout aussi nuls que les "Légitimistes" en matière économique, sauf qu'ils ont retenu de leur bref passage à l'Université la fameuse théorie keynésienne, qu'ils ressassent en litanie comme le remède miracle à tous nos problèmes.

     Pour faire simple, rappelons que Keynes avait noté (à juste titre) que la crise économique de surproduction ayant engendré la Grande Dépression des Années Trente ne pouvait être endiguée que par un accroissement considérable de la dépense publique. 

     Ceci pour sortir du cercle vicieux de la crise : la surproduction entraîne la mévente et la baisse des prix, lesquelles entraînent des défaillances d'entreprises, ce qui provoque un accroissement du chômage, lequel induit une nouvelle chute de la demande donc une nouvelle surproduction, etc... 

     Il fallait donc, disait Keynes, augmenter la dépense publique en planifiant de grands travaux, pour maintenir la demande et éviter les effets pervers dépressifs. "Il vaut mieux, disait Keynes, payer des chômeurs à faire des trous et à les reboucher que les laisser sans revenu". Où qu'il soit aujourd'hui, que John Maynard se rassure, on y est !

     En 1935, l'analyse de Keynes était à peu près correcte, le seul "amortisseur" du chômage étant alors... la soupe populaire. Mais, de nos jours, cette théorie est obsolète pour 2 raisons principales. La première est que le chômage est maintenant indemnisé (et plutôt, dans certains cas, de manière un peu trop laxiste), et n'engendre donc pas systématiquement une chute brutale de la consommation. 

     La seconde est qu'une relance de la consommation en France ne bénéficierait pas à la production intérieure mais... aux importations en provenance de Chine, d'Asie du Sud Est, d'Amérique du Nord, et même d'Europe de l'Est, augmentant d'autant le déficit de notre balance commerciale ! 

Effet nul garanti sur la production intérieure et sur l'emploi.

     Les Frondeurs sont d'ardents partisans du keynésianisme, soutenus ardemment par l'extrême gauche et les syndicats, qui ne voient de salut que dans "l'augmentation du pouvoir d'achat" et la "relance par la demande".  

     Les Légitimistes, conduits par Valls, semblent avoir compris - après deux ans et demi d'errements - que le kéynésianisme - pourtant pratiqué par Hollande depuis son élection - ça ne marche plus ! Ni la création imbécile de 60 000 postes de fonctionnaires à l'Education Nationale, ni les "emplois d'avenir", n'ont pu endiguer la terrible ascension du chômage ni éviter la chute de la croissance (en attendant la récession qui s'annonce). 

     Il aura fallu près de 30 mois à Hollande pour comprendre aussi qu'il ne fallait rien attendre d'une hypothétique relance extérieure, et qu'il était illusoire de compter sur une modification radicale de la politique économique allemande. 

     Un tiers de siècle plus tard, la même erreur fatale que celle faite par Mitterrand en 1981, corrigée par le gouvernement Mauroy II en mars 1983 (le fameux "tournant de la rigueur"). Bis repetita...

     Nous connaîtrons donc mardi la composition du gouvernement Valls II. Quel suspense angoissant. On en frémit...

      Le problème est maintenant politique. Car on pourra avoir tous les gouvernements possibles de "gauche réaliste", Hollande est désormais coincé. Défait sur sa gauche, qui va s'empresser de rejoindre le clan des extrêmes, incapable de récupérer qui que ce soit au centre (hormis peut-être l'éternelle girouette de Pau, qui ne représente plus que lui-même et symbolise la trahison), mis en joue par les syndicats qui ne vont pas tarder à sortir du bois, recordman de l'impopularité, Hollande est désormais le dos au mur. 

     En résumé, on se fout totalement de la composition du gouvernement Valls II, ce qu'on attend maintenant, c'est la prochaine étape : la dissolution !  

     En attendant de chasser définitivement du pouvoir cette clique de traîtres incompétents, avec procès pour haute trahison à la clé, mais ça c'est encore une autre histoire.

  Manuel Valls, l’homme fort aux pieds d’argile

     Le 25 août 2014

     Le triomphe de Manuel Valls est un triomphe en trompe-l’œil, une victoire à la Pyrrhus.

   
     Laisser dire, laisser faire et laisser passer, laisser la pluie s’égoutter sur son dos rond. Il n’est pas dit, s’il avait pu librement suivre sa pente naturelle, que François Hollande aurait pris contre Arnaud Montebourg les sanctions qu’appelait et qu’imposait son dernier et grave manquement aux règles de la solidarité ministérielle et de la discipline gouvernementale.

     Il n’est d’ailleurs pas certain, non plus, que le ministre de l’Économie s’attendait à la rapidité et à la brutalité de la réaction que susciteraient les propos qu’il a tenus dimanche après-midi dans la chaleureuse ambiance de sa fête de la Rose… et des épines qui vont avec.

     Le turbulent Arnaud avait pris l’habitude, sous Jean-Marc Ayrault, de ne rien cacher des différends qui l’opposaient au Premier ministre, et ses insolences, ses bravades, ses farces d’écolier traité en chouchou de la classe politique ne lui avaient jamais attiré de la part du Président que de bien vagues réprimandes, et prononcées sur un ton si indulgent qu’elles valaient encouragement.

     Seulement, si le proviseur n’a pas changé, qui se serait sans doute contenté d’une comparution devant le conseil de discipline et d’un simple blâme pour Arnaud, assorti d’un avertissement au petit Benoît qui n’a fait que suivre son camarade, le nouveau censeur, qui n’est pas de la même trempe, était bien décidé à sévir à la première occasion.

     Il faut bien reconnaître qu’il y avait incompatibilité et de forme et de fond entre l’attitude et les propos d’Arnaud Montebourg et son maintien dans ce qu’il appelle la « collégialité » ministérielle. Non seulement le ministre de l’Économie discutait et contestait les ordres venus d’en haut, mais il ne craignait pas d’indiquer la voie d’une politique de rupture exactement inverse de celle que le capitaine Cap et son second ont fixée et qui a donné les résultats que l’on sait, qui ne sont rien encore à côté de ce qu’on peut en attendre.

     Quelle figure aurait fait Manuel Valls (François Hollande s’en serait sans doute accommodé) s’il avait retrouvé à ses côtés demain mercredi, railleur et content de lui, le chahuteur qui l’avait publiquement défié.

     Quelle autorité lui serait-elle restée sur le reste de son équipe ?

     Le Premier ministre n’a pas laissé passer, lui, l’occasion de s’imposer. Il a mis dans la balance sa démission, il a tenu un langage assez ferme et assez viril pour être immédiatement compris de son supérieur hiérarchique. Il a enfin obtenu, ce qui lui avait été refusé en mars dernier, de constituer un gouvernement resserré, à son idée et à sa main, pour ne pas dire à sa botte.

     Il est à prévoir qu’au moins pendant quelque temps on n’entendra plus les couacs qui étaient devenus la marque de l’orchestre du Titanic français et que le président de la République et son chef du gouvernement auront les coudées franches pour continuer dans la voie qui a valu au premier d’atteindre 83 % d’impopularité, au second de perdre en cinq mois vingt points d’opinions favorables.

     Car le triomphe de Manuel Valls est un triomphe en trompe-l’œil, une victoire à la Pyrrhus. L’éviction d’Arnaud Montebourg et de ses complices va grossir les rangs de l’opposition de gauche à François Hollande et priver définitivement le Premier ministre de l’appoint et même de la neutralité des quelque quarante à cinquante députés « frondeurs » qui le gênaient hier, qui le paralyseront demain.

     Déjà se dessinent les contours encore vagues mais amples d’un Front de gauche, d’un Mouvement pour la VIe République qui irait de Besancenot à Montebourg en passant par Mélenchon, Pierre Laurent, Cécile Duflot et, qui sait, Martine Aubry.

     Archi-minoritaire dans le pays, la « majorité » de moins en moins plurielle est en passe de se dissoudre au
 
     Parlement. Sa division suicidaire risque fort de ne plus laisser à François Hollande que le choix qu’il aurait souhaité éviter entre sa démission et la dissolution.

     Si Manuel Valls a bien joué au petit chef, il est un homme seul et il verra bientôt ce que c’est que d’être l’homme fort d’un gouvernement faible.