DEMISSION : LA PRESSION DE LA RUE

       

            SOUS LA PRESSION DE LA RUE 

                Hollande pourrait dissoudre…

                                                            L INTRODUCTION DE BBR

     Non hollande ne dissoudra rien du tout, hollande veut aller jusqu au bout de son mandat, hollande se fou de la pression de la rue, se fou de son peuple qui souffre, de son pays qui s enlise, se fou du mariage pour tous (ne voulant pas se marier), se fou du déficit, des chômeurs, de la santé, hollande veut FRIC ET POUVOIR,

     Les circonstances du conflit avec les ISLAMISTES fait que LA UNE DES JOURNAUX lui sera consacré (je reconnais que le problème Islamiste qui est grave aurait du être réglé depuis fort longtemps) mais on attend, on attend......on réfléchit..... on pense..... on propose..... et pendant ce temps......., les Islamistes recrutent......tuent.......massacrent....... décapitent........ils poussent la Communauté Internationale à bout afin de savoir à quel moment elle va se décider à agir,
exactement comme notre gouvernement avec les Français qui il pousse à bout.

     Hollande à annoncer la couleur, pas de question de quitter le navire que je fais sombrer, ne vous inquiétez pas pour moi, comme LE COMMANDANT DU CONCORDIA, je saurais le quitter avant de me noyer avec vous.

     On se demande comment est- il possible des rester président d un pays dont plus personne ne veut de lui, 87 % des français, sa majorité au parlement, ses ministres....., Il ne lui reste que le valls....quelques ministres lèchent cul..... et quelques amis à qui il à du accorder des faveurs.....

    valls change d avis pour les toutes petites retraites, mais que pour les petites petites bien entendu, il ne se foule pas...... et on entend ce matin le patron du médef faire ses proposition pour créer 1 million d emploi.... supprimer les 35 heures (loi aubry PS)   supprimer 2 jours fériés --- le travail le dimanche et jours fériés...... valls et gataz se seraient la main tout content.....attendons de voir les réactions de ceux qu ils appellent "Les partenaires sociaux". Rira bien qui rira le dernier.

Après l article ci-dessous  sur la pression de la rue , vous trouverez à la suite les propositions de faire encore payer les retraités et pour clore cet ensemble de mesure généreuse, vous trouverez la façon dont on rogne sur les pensions de nos anciens combattants -   QUELLE  DE HONTE -

     Le 12 septembre 2014

     M. Hollande, les Français vous regardent et attendent la seule décision raisonnable et digne.

     La situation désastreuse du pouvoir socialiste ne cesse de se dégrader au rythme quotidien des affaires (M. Thévenoud, M. Arif, les comptes du PS marseillais) et des échecs économiques. À tel point que nul ne sait, à gauche comme à droite, comment cette spirale infernale va s’achever. Les plus lucides souhaitant que le coup de sifflet final intervienne le plus rapidement.

     M. Hollande, après avoir exclu vendredi de démissionner ou de dissoudre, semble aujourd’hui envisager sérieusement, dans Le Nouvel Observateur, l’hypothèse de la dissolution. Il était temps ! Mais n’est-il pas déjà trop tard ?

     M. Hollande met deux conditions pour la dissolution: que sa majorité « se dérobe », ou que la rue se mobilise, « un Mai 68 à rebours, comme la droite a tenté de le faire, avec la Manif pour tous ».
Soit M. Hollande joue avec le feu. Soit il veut en finir rapidement avec ce quinquennat. Le message n’est-il pas clair ? Pour la gauche, comme pour la droite ? Que les frondeurs aillent au bout de leur fronde, le 16 septembre, s’ils veulent conserver un peu de crédibilité et d’honneur ! Et que la droite (et au-delà) descende dans la rue, lors de la Manif pour tous du 5 octobre, puisque M. Hollande demande une session de rattrapage !

     Il est d’ailleurs étonnant de voir notre Président reconnaître bien tardivement l’importance des mobilisations de la MPT : il les gratifie de « Mai 68 à rebours » : quel éloge ! Pourtant, souvenez-vous, en janvier, en mars et en mai 2013, les services de M. Valls ne comptaient que quelques milliers de manifestants, alors que toutes les images montraient de véritables marées humaines !

     Encore un peu de lucidité, M. le Président ! S’il est vrai que la Manif pour tous est un vrai mouvement de société que vous avez, pour votre plus grand malheur, méprisé et sous-estimé, vous vous trompez encore sur sa nature. Contrairement à ce que vous prétendez, la droite n’a rien tenté, avec la Manif pour tous. Elle était même, à quelques exceptions près, aussi surprise et dépassée que vous par ce mouvement de fond.

      M. Hollande se veut lucide, mais trop tard. Le tournant qu’il aurait dû prendre, c’était après la manif de mars 2013. C’est là qu’il n’a pas su devenir le digne héritier du F. Mitterrand de juin 1984 (« On n’impose pas une réforme quand on a un million de personnes dans la rue »), renvoyant Mme Taubira et sa réforme, nommant M. Valls avec comme seule feuille de route le redressement économique du pays.

     Toujours un temps de retard dans la lucidité et la décision, M. Hollande. Ce qui fonctionnait pour diriger le PS à coups de synthèses artificielles et de louvoiements plus ou moins contrôlés n’est pas à la hauteur du gouvernement de la France.

     Et au stade où nous en sommes, la dissolution n’est même plus possible, pour la seule raison que M. Hollande prendrait la responsabilité historique d’amener le Front national au pouvoir.
M. Hollande, les Français vous regardent et attendent la seule décision raisonnable et digne.


               ET ON PARLE DE PLUS EN PLUS DE FAIRE PAYER NOS RETRAITÉS 

     Le 14 septembre 2014

    Les médias, en boucle, disent que les Français ne peuvent pas payer le dernier tiers provisionnel, ils ne parlent pas de ceux qui ne peuvent plus rien payer.

     La semaine passée, une information est restée de façon surprenante presque sans réaction. Rien de la part de la soi-disant « opposition », rien des « opposants de gauche » et pourtant…
Le gouvernement – Valls en tête – a décidé de ne pas revaloriser les retraites en octobre, contrairement à ce qui avait été promis. Il avait été annoncé, en début d’année, que la revalorisation de ces retraites, même les plus petites, serait repoussée au mois d’octobre. Comme la parole politique n’a plus aucune valeur, il était évident qu’à la première occasion, au premier prétexte, Hollande reviendrait sur celle-ci.

     C’est fait : même les retraites qui sont sous le seuil de pauvreté ne seront pas revalorisées. Le prétexte, cette fois-ci… il n’y a pas eu d’inflation (sic). Comme tous les Français, je ne m’en étais pas rendu compte. Les augmentations de taxes, d’impôts, de prix de toutes sortes ne faisant pas partie du calcul de l’inflation.

     Les retraites figées depuis maintenant presque deux ans, les retraites amputées de nouvelles taxes et prélèvements, tout a été fait pour diminuer encore le pouvoir d’achat de ces Français âgés. Beaucoup sont pauvres, ne peuvent même plus se payer un loyer, et pourtant. Ceux-là ont travaillé toute leur vie, et pas 35 heures. Ils ont payé et cotisé et le font encore ; certains, à plus de 70 ans, sont obligés de travailler encore pour survivre.

     Pendant ce temps-là, notre gouvernement dans sa grande mansuétude a relevé le RSA de 1,5 %.

     Là encore, pas une réaction de ceux qui seraient censés défendre en priorité les Français. J’avais entendu, il y a quelques années, que « la France qui se lève tôt » était à prendre en considération. Le changement, c’est maintenant : ceux qui travaillent, ceux qui ont travaillé toute leur vie sont ceux sur qui la laine est tondue. E

     n revanche, les mains tendues, les profiteurs de tout poil, j’ose même dire, pour certains, les paresseux sont chouchoutés. Peut-être sont-ils les seuls à voter encore socialiste, d’ailleurs ? Ceux-là voient la revalorisation de leur assistanat (payé, bien sûr, par ceux qui bossent).

     Ils sont toujours couverts par la CMU ou autre pour la santé alors que ceux qui payent, cotisent, rament voient leurs prestations diminuées, amputées et même supprimées. Ces mêmes profiteurs ne payent pas non plus de cantine pour leurs enfants, de transports, d’électricité et j’en passe.

    Le silence qui règne autour de cet état de fait est assourdissant ; même les communistes n’osent pas en parler dans leur Fête de l’Huma. Ils ont sans doute peur de sauter avec les socialistes qui conduisent leur barque.

     Aujourd’hui, les médias, en boucle, disent que les Français ne peuvent pas payer le dernier tiers provisionnel, ils ne parlent pas de ceux qui ne peuvent plus rien payer. Quand un pays tue la politique familiale et la famille avec, tue la valeur travail et ne considère que ceux qui viennent se faire prendre en charge, ce pays est perdu.

     Les politiques ne sont aujourd’hui d’aucun secours, sauf ceux que l’on s’acharne à faire taire presque officiellement. Seule la rue saura faire entendre cette voix qui gronde un peu partout. Le moment est proche.

OUI EN EFFET LES SOCIALISTES CONNAISSENT BIEN CE QUE VEUT DIRE LE 

CHANGEMENT C EST MAINTENANT   VOYEZ PLUTÔT

Ô temps suspend ton vol.......

Incroyable, pile poil 22 ans tapant ... 

2 Avril 1992...Gouvernement BEREGOVOY

- Ministre des Finances:...Michel SAPIN

      - Ministre de l'Ecologie:....Ségolène ROYAL

2 Avril 2014   Gouvernement VALLS

- Ministre des Finances:...Michel SAPIN

      - Ministre de l'Ecologie:....Ségolène ROYAL 

                             Ils osent tout 

   même s’attaquer aux anciens combattants !

     Permettez à votre serviteur  BBR de se joindre à ce duo de personnalités que sont Philippe BOUVARD et Jean d ORMESSON pour reprendre en TRIO cette phrase devenue célèbre :

             LES CONS CA OSENT TOUT -  C EST A CA QU ON LES RECONNAIT 

       Quand l’Etat rogne les pensions 

             des anciens combattants

     A quelques jours de la commémoration de l’armistice, des centaines de milliers d’anciens combattants ont appris que l’Etat allait leur raboter un complément de retraite.

    Le gouvernement insiste sur le caractère temporaire de cette mesure alors que Bercy souhaitait initialement supprimer la niche fiscale associé à la rente.

                                                 LA PETITE INTRODUCTION DE BBR

     Une Honte supplémentaire  même si elle commence à dater, on s aperçoit donc que c est très rapidement que l envie de détruire et  plumer les plus méritants étaient déjà encrés dans leurs cerveaux minables et vides. 

     Quand on ne taxe pas d une manière, on agit d une autre et on supprime des acquis, on réduit les retraites, les pensions, une façon lâche de nous  salir un peu plus, pourtant ils savent bien tous ces cons accorder des légions d honneur à tour de bras à des non méritants, ils savent bien se voter des lois quand elles sont a leurs avantages.

    Nous ne sommes pas au bout de nos peines. 

    Que d argent foutu en l air pour l inutile tout en le supprimant pour l utile, (c est un peu comme les papiers trop nombreux que l on veut conserver) les femmes confirmeront.

     

                                                                -----ooo0ooo-----

     Le 6 octobre 2013

     Le gouvernement aux abois vient de s’en prendre à une population à laquelle personne n’avait jusqu’à ce jour osé s’attaquer...

     Le gouvernement aux abois vient de s’en prendre à une population à laquelle personne n’avait jusqu’à ce jour osé s’attaquer : las anciens combattants, victimes de guerre et pupilles de la Nation. 

     Ils ont droit à une pension d’un niveau modeste, 1.739 € par an en 2013 au maximum, pour laquelle l’État contribue à un niveau allant de 12,5 % à 60 %. Le projet de loi de finances pour 2014 ramène à 20 % cette majoration. Il fallait oser…

     On en attend 10 millions d’économie en 2014 et 30 millions en 2015.

     Parallèlement, on vient d’inventer une nouvelle alloc’ de 434 € par mois au profit des cancres de moins de 25 ans trop illettrés pour pouvoir postuler à un « emploi d’avenir » (emploi aidé par des fonds publics) pour lequel il convient de manier la langue correctement, les chiffres, l’orientation géographique, et donc une claire expression orale afin de satisfaire aux demandes, même basiques.

     On expérimente la chose sur 10 000 jeunes : si je calcule bien, cela fait quand même quelque 52 millions d’euros.

     Les anciens combattants et les pupilles de la Nation n’y suffiront pas