SOUTENONS NOS CITOYENS NOS COMMERÇANTS POUR FAIRE CESSER CES BRAQUAGES INCESSANTS
La publication de mon article précédent intitulé BIJOUTIERS, BURALISTES, PHARMACIENS, COMMERÇANTS va dans le même sens que celui décrits ci-dessous que je vous laisse apprécié et qui n est pas de moi.
Si seulement nous avions une JUSTICE
Encore BRAVO à MME TAUBIRA qui se fait une belle PUBLICITÉ toute en montage avec son histoire de BANANE et de RACISME - Les Elections approchent à grand pas et la gauche et les socialistes régressent au point de tout vouloir mettre sur le dos du Front National.
ASSUMEZ VOS ÉCHECS MADAME
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Pauvre
France qui vit sous la dictature des inversions de
valeurs.
Le
bijoutier de Sézanne a tiré sur une pourriture de la société, armée, et qui l’a
agressé après avoir voulu le cambrioler. Il avait déjà été cambriolé quatre
fois. Il a défendu son patrimoine, son bien, son outil de travail. Il a défendu
son honneur aussi, car c’est un honneur que de protéger ce qui est à soi et de
ne pas laisser un voyou vous le prendre. Il s’est fait justice car la justice ne
peut pas être partout.
Dès
l’instant où la racaille est entrée dans sa bijouterie, armé, il a rompu le
contrat social, et le bijoutier n’avait d’autre choix que de le rompre aussi, de
se protéger et de protéger son bien. Il n’avait rien demandé à personne. Le
petit malfrat, en revanche, a été victime d’un accident du travail. Victime de
lui-même et de ses actes. Il a accepté de mourir par une arme dirigée contre la
sienne. La société voudrait lui retirer aujourd’hui sa responsabilité et la
faire peser sur le bijoutier.
La
justice devra dire s’il s’agit de légitime défense selon sa nouvelle définition
restrictive : vous êtes en légitime défense si vous arrivez à sortir votre arme
– mais comme vous êtes un honnête homme, vous n’avez pas forcément l’habitude de
vous en servir donc vous êtes forcément lent et maladroit – la charger, la
pointer sur l’agresseur, et à tirer plus vite que lui pour ne pas succomber sous
ses balles, alors qu’il pointe le fusil vers vous, qu’il a le doigt sur la
détente – et tout ça, seulement après vous être assuré que le fusil est bien
chargé, après avoir évalué si votre riposte est bien la meilleure, si elle est
proportionnée, bien adaptée, s’il n’en existait pas de meilleure, et après avoir
vérifié que la balle dans l’arme de l’agresseur n’était pas à
blanc.
Si
ces conditions ne sont pas remplies, vous n’avez pas l’assurance absolue que le
voyou allait tirer sur vous, donc vous n’êtes pas en état de légitime
défense, mais de défense.
J’exagère,
mais si peu : les médias préparent déjà le terrain et minimisent la
responsabilité du braqueur en affirmant qu’il a attaqué « avec une arme sans
munitions, de type gomme cogne ».
Et
le juge chargé d’apprécier cette légitime défense ? Appartiendra-t-il au
Syndicat de la magistrature chargé d’inscrire ses combats au cœur du « mouvement
social » au lieu d’appliquer le droit, chargé de s’acharner contre le riche
bourgeois – le bijoutier – contre la pauvre victime broyée par la société, et
rééquilibrer cette injustice ?
C’est
la direction qu’ont déjà pris les médias et qui me dicte la dureté de mes mots :
« Me Zbili a décrit son client comme un garçon avec un «côté attachant» car en
souffrance. «Il vivait d’expédients» et était «en rupture avec une famille qui
n’arrivait probablement plus à supporter la réitération des faits commis»… et
jouent un air de violon pour attendrir le lecteur : « Il venait de fêter ses 36
ans ». Comme c’est triste… Pourriture.
La
réalité est que Fatihé Mehenni était une ordure, un multi récidiviste, et s’il
n’avait pas fini sur le macadam, il aurait probablement fini par tuer quelqu’un.
Tant qu’à faire, autant que ce soit lui qu’un innocent.
•
Car ce Fatihé Mehenni avait été condamné le 10 octobre 2003 par la cour
d’assises du Val-de-Marne pour vol à main armée et prise en otage d’un vigile en
lui mettant un couteau sous la gorge.
•
Il avait également été condamné à deux ans d’emprisonnement pour son évasion du
tribunal de Créteil.
•
Le 21 mars 2001 il comparaissait au tribunal pour une autre
affaire.
•
Fatihé Mehenni a commencé son parcours délinquant à l’adolescence et «fait tout
ce qui était possible» dit une source policière.
•
Il a été condamné à dix reprises, dont deux fois pour vol avec arme par
la cour d’assises des mineurs des Yvelines et la cour d’assises du
Val-de-Marne.
Alors
les larmes de crocodiles, que les journalistes les gardent pour le photographe
blessé au journal Libération. Une ordure est une ordure, une pourriture une
pourriture, un voyou un voyou, un malfrat un malfrat, et pas un garçon avec un
«côté attachant».
Le
bijoutier aurait du recevoir la légion d’honneur. Si sa réaction était soutenue
par la société, les voyous comprendraient vite qu’on ne s’y frotte
pas.
Que serait il passé si Fatihé Méhénni avait tué la femme du bijoutier et le bijoutier!!!
RépondreSupprimerLes Merdias auraient titré dans la rubrique faits divers "un braquage qui a mal tourné",
les commerçants de la ville auraient baissé le rideau et Fatihé Méhénni ou se serait évaporé dans la nature,ou aurait été emprisonné une nouvelle fois et ressorti pour bonne conduite une nouvelle fois!!!
Et les victimes!!!!un fait divers et rien de plus.
Tout cela est la faute de notre gouvernement qui par son laxisme encourage ce type de délinquance,notre justice quant à elle n'est pas là pour protéger les citoyens honnêtes !!!!!
Pauvre France!!!!!!!!
Fleur de lys.
Oui tu as raison Fleur c'est le monde a l'envers , ces les victimes qui dérouille pour ces délinquants.
RépondreSupprimerLes médias ont toujours de "drôles" de façon de présenter les faits. De plus beaucoup de racailles n'ont plus du tout peur de la police, ils les nargues, les caillassent, ils ont bien compris qu'ils ne craignent pas grand chose dans notre pays. C'est honteux. Les gens risquent de finir par s'armer de plus en plus pour se défendre.
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