C EST
A VOMIR
Il est peut être grand temps de
citer à nouveau la liste et les agissements de nos donneurs de leçons, et qui
plus est, se permettent d affaiblir LA
FRANCE, et de donner quelques miettes aux Français après s être servis
généreusement.
Ce matin encore, aux quatre vérités, on entendait la MARIESOL TOURAINE riche comme crésus ne donnant pas d argent de poche a son fils, lequel est obligé de braquer une mamie pour lui piquer sa carte bleue, nous dire pour la réforme des retraites que la droite est pourrie et que les français doivent encore faire des efforts avec une augmentation des cotisations de 3%
Ce matin encore, aux quatre vérités, on entendait la MARIESOL TOURAINE riche comme crésus ne donnant pas d argent de poche a son fils, lequel est obligé de braquer une mamie pour lui piquer sa carte bleue, nous dire pour la réforme des retraites que la droite est pourrie et que les français doivent encore faire des efforts avec une augmentation des cotisations de 3%
J
AI HONTE HONTE HONTE
Et
quand on connait leur salaire, leur bien,
QUE J AVAIS DÉJÀ PUBLIÉ DANS LE BLOG,
leur cumul de mandats, leurs avantages, et en plus ils se permettent de
magouiller avec leur mensonge, leur hypocrisie, leur sourire moqueur pour en
avoir toujours plus, pendant que d
autres crèvent de faim.
QUEL PROFOND DÉGOÛT
« Droite «
Nicolas Sarkozy –
Ancien président de la République, mis en examen pour « abus de
faiblesse ».
Jean-Christophe Lagarde – Député-maire de
Drancy, centriste, cité à comparaître par le parquet de Paris dans le cadre
d’un dossier de marché public. Déjà condamné fin décembre 2012 par le tribunal
correctionnel de Paris à 5 000 euros d’amende pour « attribution
illégale de marché public », dans le cadre confidentiel d’une
procédure de plaider-coupable.
Alain Juppé –
Ancien ministre UMP des Affaires étrangères, maire de Bordeaux, vice-président
de la communauté urbaine de Bordeaux. Condamné le 1er décembre
2004 par la Cour d’appel de Paris à 14 mois de prison avec sursis et 1 an
d’inéligibilité pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux
et prise illégale d’intérêt ».
Patrick Balkany –
Maire UMP de Levallois-Perret, député des Hauts-de-Seine, condamné le 30
janvier 97 (cour d’appel) à 15 mois de prison avec sursis, 200 000 francs d’amende
et 2 ans d’inéligibilité pour « prise illégale d’intérêt ». En
juillet 99, la Cour régionale des comptes d’Île-de-France condamne Balkany à
rembourser à la ville de Levallois-Perret 524 000 euros pour le préjudice lié à
sa condamnation de 97. Isabelle Balkany, conseillère municipale de la même
ville et vice-présidente du Conseil général, est contrainte de rembourser cette
somme solidairement avec son mari. En dernière instance, le Conseil d’État
confirme la condamnation le 27 juillet 2005. Les Balkany sont contraints de
rembourser aussi les intérêts qui courent depuis 1995 d’un montant de 230 865
euros. En février 2007, le ministre de l’Économie Thierry Breton est saisi
d’une demande de recours gracieux concernant cette somme, recours pour lequel
le conseil municipal de Levallois donne son approbation ! À ce jour on ne
connait pas la suite donnée à ce recouvrement d’argent public ... Le 31 mars
2004, Balkany est condamné par la Cour d’appel de Versailles à 2 500 euros
d’amende pour « diffamation et injures » envers une élue.
Serge Dassault –
Sénateur UMP de l’Essonne, ex-maire de Corbeil, condamné en 1998 en Belgique à
2 ans de prison avec sursis pour « corruption » dans l’affaire
Agusta.
Jean Tiberi –
Ex-député UMP, maire du 5ème arrondissement de Paris,
condamné le 12 mars 2013 par la cour d’appel de Paris à 10 mois de prison avec
sursis, 10 000 euros d’amende et 3 ans d’inéligibilité pour « atteintes
à la sincérité d’un scrutin par des manœuvres frauduleuses ». Pourvoi
en cassation le 13 mars.
Éric Vannier –
Maire Divers droite du Mont-Saint-Michel, également patron du groupe
alimentaire et touristique Mère Poulard, a été condamné ce mercredi 27 février
à 30 000 euros d’amende, dont 20 000 avec sursis, par le TGI de Coutances pour
« prise illégale d’intérêts ». De la prison avec sursis avait
été requise par le parquet. Mais non... 10 000 euros et hop ! On peut
parier qu’il ne fera pas appel de cette décision !
Gaston Flosse –
Sénateur UMP de Polynésie, condamné par la cour d’appel de Papeete le 07
février 2013 à 4 ans de prison avec sursis, 125 000 euros d’amende et 3 ans de
privation des droits civiques (inéligibilité) pour « détournement de
fonds publics et prise illégale d’intérêts ». Le tribunal l’avait
condamné le 4 octobre 2011 à 4 ans de prison ferme ! Il va se pourvoir en
cassation (le pourvoi est suspensif, ce qui va lui permettre de se présenter
aux élections territoriales d’avril prochain). Dans une autre affaire, le 15
janvier 2013, le tribunal correctionnel de Papeete le condamne à cinq ans de
prison ferme, à une amende de 83 800 euros, à 5 ans d’inéligibilité et au
remboursement de la partie civile pour « trafic d’influence passif et
corruption active ». Il a fait appel de ce jugement ! On
l’appelle « imperméable »... (il passe depuis toujours entre
les gouttes !)
André Santini –
Député-maire UMP d’Issy-les-Moulineaux, condamné le 21 janvier 2013 par le
tribunal correctionnel de Versailles à 2 ans de prison avec sursis pour « détournement
de fonds ». Il écope également de 5 ans d’inéligibilité et 200 000
euros d’amende. Il a fait appel.
Charles Pasqua –
Sénateur apparenté UMP de Seine-Saint-Denis (jusqu’au 30 septembre 2011),
ex-député, ex-ministre, condamné le 30 avril 2010 par la Cour de justice de la
République à 1 an de prison avec sursis pour « complicité d’abus de
biens sociaux et complicité de recel ». Condamné le 21 janvier 2013
par le tribunal correctionnel de Versailles, à 2 ans de prison avec sursis, 2 ans
d’inéligibilité et 150 000 euros d’amende. Il a fait appel.
Yannick Paternotte –
Maire de Sannois, ex-député UMP du Val-d’Oise, président de la
« commission nationale des recours » de l’UMP, condamné le 13
décembre 2012 par le tribunal correctionnel de Nanterre à 15 mois de prison
avec sursis et 2 ans d’inéligibilité pour « abus de faiblesse »
(affaire Lucienne Kielar, donation suspecte).
Roxane Decorte –
Conseillère municipale UMP du XVIIIème arr. de Paris, condamnée
en décembre dernier (procédure CRPC) à 4 mois de prison avec sursis et 6 000
euros d’amende, pour « abus de confiance » dans le cadre du
détournement de fonds d’une association – ARA18 – dont elle était la présidente
bénévole.
François Grosdidier –
Sénateur UMP de Moselle, maire de Woippy, mis en examen le 26 juillet 2012,
pour « détournement de biens publics ».
Michel Fontaine –
Sénateur-maire UMP de Saint-Pierre (La Réunion), condamné le 28 juin 2012 par
la Cour d’appel de la Réunion à 4 mois de prison avec sursis et 10 000 euros
d’amende pour « détournement de bien et favoritisme » dans le
cadre de marchés publics.
Georges Tron –
Député UMP et maire de Draveil, mis en examen le 22 juin 2011 pour « viol
en réunion » et placé sous contrôle judiciaire. Son ancienne attachée
parlementaire dépose une plainte le 7 octobre 2011 pour harcèlement moral en
vue d’obtenir des déclarations concordantes dans l’affaire pour laquelle Tron
est mis en examen.
Claude Biwer –
Ex-sénateur Nouveau Centre de la Meuse (jusqu’au 30 septembre 2011), maire de
Marville, président de la communauté de communes du Pays de Montmédy. Condamné
le 25 février 2011 par la Cour d’appel de Nancy à 6 mois de prison avec sursis,
5 ans d’inéligibilité et 10 000 euros d’amende pour « prise illégale
d’intérêt », il s’est pourvu en cassation. Condamné en mai 2008 par la
Cour d’appel de Nancy à 10 000 euros d’amende pour « escroquerie, faux
en écriture, détournement de fonds publics et complicité de travail dissimulé ».
Denis Jacquat –
Député UMP de Moselle. Il est condamné en 2011 à 10 000 euros d’amende par le
TC de Reims pour « abus de confiance » et « infraction
à la législation sur le financement des campagnes électorales ».
Manuel Aeschlimann –
Député Ump des Hauts-de-Seine, condamné le 21 janvier 2011 par la Cour d’appel
de Versailles à 18 mois de prison avec sursis 20 000 euros d’amende et 1 an
d’inéligibilité pour « favoritisme dans l’attribution de marché public ».
Il s’est pourvu en cassation (effet suspensif).
Guy Granger –
Ex-maire UMP de Monistol-sur-Loire, conseiller général, condamné le 12 janvier
2010 par le TGI du Puy en Velay à 10 000 euros d’amende dont 5 000 avec sursis
pour « prise illégale d’intérêts ».
Pierre Bédier –
Ex-député UMP des Yvelines, ex-président du Conseil général des Yvelines et
ex-maire de Mantes-la-Jolie, condamné le 16 mai 2008 par la Cour d’appel de
Paris à 18 mois de prison avec sursis, 6 ans d’inéligibilité, 25 000 euros
d’amende, pour « corruption passive et recel d’abus de biens sociaux »
dans l’affaire Delfau-Ainett et pour des faits datant de la période 1998-2001.
Suite à cette condamnation, démis de ses fonctions au Conseil général par
décision du préfet des Yvelines. Démissionnaire de l’Assemblée nationale pour une
mission parlementaire temporaire à la demande du Premier ministre (un petit
arrangement entre amis pour éviter des élections partielles). Bédier avait déjà
été mis en examen en 2000 pour « atteinte à l’égalité des candidats
dans les marchés publics » et « favoritisme » en tant
que président de l’office HLM des Yvelines. Il bénéficia d’un non-lieu en 2002.
Jacques Masdeu-Arus –
Ex-député UMP des Yvelines et maire de Poissy, condamné le 16 mai 2008 par la
Cour d’appel de Paris à 2 ans de prison avec sursis, 10 ans d’inéligibilité, 75
000 euros d’amende, pour « corruption passive et recel d’abus de biens
sociaux » dans l’affaire Delfau-Ainett et pour des faits datant de la
période 1998-2001.
Gilles Forray –
Ex-conseiller général UMP des Yvelines et ex-adjoint au maire de Poissy,
condamné le 16 mai 2008 par la Cour d’appel de Paris à 3 ans de prison avec
sursis, 10 ans d’inéligibilité, 75 000 euros d’amende, pour « corruption
passive et recel d’abus de biens sociaux » dans l’affaire
Delfau-Ainett et pour des faits datant de la période 1998-2001.
Sans
étiquette
Guy Jolly –
Maire d’Apremont, condamné le 10 janvier 2013 par le tribunal des
Sables-d’Olonne à 3 000 euros d’amende dont 1 500 avec sursis pour « prise
illégale d’intérêts ».
Joseph Letorey –
Maire de Varaville , condamné le 18 décembre 2012 par le tribunal correctionnel
de Caen à 3 000 euros d’amende avec sursis pour « prise illégale
d’intérêts ».
Jean-Michel Tobie –
Maire d’Ancenis, condamné le 15 novembre 2012 par le TGI de Nantes à 3 000
euros d’amende pour « prise illégale d’intérêts ».
René Marratier –
Maire de La-Faute-sur-mer , condamné le 18 octobre 2012 à 10 000 euros d’amende
pour « prise illégale d’intérêts ». Il est par ailleurs mis en
examen en avril 2011 pour « homicide involontaire » et « mise
en danger de la vie d’autrui ». L’enquête a été ouverte pour « homicides
involontaires », « mise en danger de la vie d’autrui »,
« abstention de combattre un sinistre » et « prise
illégale d’intérêts ».
Olivier Zaragoza –
Maire de Tignes, condamné le 26 mars 2012 par le tribunal d’Albertville à 8
mois de prison avec sursis, 60 000 euros d’amende et 3 ans d’inéligibilité pour
« prise illégale d’intérêt ». Il a bien entendu fait appel de
ce jugement (effet suspensif).
La République irréprochable des "socialistes"
Par Léon Saint-Quay
Pour passer sans encombre
la comédie protocolaire des élections présidentielles et permettre ainsi aux marionnettes politiques désignées
d’être recouvertes du beau vernis de la « souveraineté démocratique », il
est important de bien maîtriser l’opinion publique.
Aucun problème, car les médias sous contrôle rempliront cette
tâche. Les futurs élus pourront se lancer dans des grandes déclarations
messianiques, sans avoir à assumer quoi que ce soit par la suite, car les
médias s’appliqueront à ne pas rappeler les vieux engagements et les tirades
vibrantes qui les accompagnaient. Une fois passé le vote, accompli sous une
dose maximale d’émotion, l’amnésie populaire est primordiale.
C’est ainsi que Nicolas Sarkozy avait pu prétendre s’intéresser à
la question de l’insécurité en 2007, ou que François Hollande avait pu jouer en
2012 au révolutionnaire en vilipendant « le monde de la finance ».
Notre président « normal » avait aussi par ailleurs
parlé de « République irréprochable », promettant une probité totale,
passé et future au sein de son gouvernement.
Après une affaire Cahuzac qui a concentré toutes les attentions,
il nous paraît pertinent de ressortir et d’actualiser cette liste établie par
le site Mdmemichu.com en mai 2012 [1], qui
nous indique que le passé des ministres actuellement en poste n’est pas
toujours complètement irréprochable.
Par ailleurs, un rappel des passifs troubles (voire parfois très
troubles) de certains dignitaires socialistes doit aussi être pris en compte.
Nous pourrions bien revoir certaines têtes prochainement, le jeu pathétique des
« remaniements » étant de nos jours très employé pour remédier à la
colère populaire qui s’abat sur des équipes exécutives s’usant de plus en plus
vite.
Pour les membres du
gouvernement actuel
Jean-Marc
Ayrault : condamné à une peine de six mois de prison avec sursis et
30 000 F d’amende pour avoir octroyé de décembre 1991 à décembre 1993, sans
mise en concurrence, ni avoir recours à des appels d’offres et sans réaliser de
contrat, le marché d’impression du journal municipal nantais, Nantes Passion, dont le budget
d’impression s’élevait à 6 millions de francs par an.
Laurent Fabius :
a comparu en février et mars 1999 devant la Cour de justice de la République (CJR) pour homicides involontaires dans
l’affaire du Sang contaminé. Le 9 mars 1999, Laurent Fabius est relaxé, la CJR soulignant tout de même que son action « a contribué à accélérer les processus décisionnels ».
Arnaud
Montebourg : condamné à verser 1 euro de dommages et intérêts aux
ex-dirigeants de la société maritime SeaFrance, qu’il avait qualifiés d’escrocs, et condamné en décembre 2012 pour avoir porté atteinte à la présomption d’innocence
du sénateur PS Jean-Noël Guérini.
Christiane
Taubira : condamnée le 27 septembre 2004 par le tribunal des
prud’hommes pour licenciement abusif, rupture abusive de contrat, et à verser 5
300 euros après avoir exploité son ancienne assistante parlementaire [2].
Pierre Moscovici : condamné en 2001 pour atteinte au droit à l’image, dans le cadre de l’utilisation d’une photo pour une campagne électorale sans consentement.
Manuel
Valls : plainte déposé contre lui pour détournement de fonds publics en 2011, il aurait utilisé les budgets à sa disposition en tant que député pour financer sa potentielle campagne à l’élection présidentielle auprès
des maires. La plainte liée à cette affaire a été classée sans suite [3].
Notons aussi quelques
« dérapages «
Delphine
Batho : pas de condamnation, mais s’est obstinée très longtemps à
conserver son logement social malgré son indemnité ministérielle [4].
Yamina
Benguigui : s’est vu reprocher d’avoir utilisé en octobre 2012 un Falcon 900 de la République pour un vol à destination de Kinshasa (coût : au moins 140 000 euros) [5].
Najat Vallaud Belkacem : son service de communication a tenté de faire supprimer le reportage de BFM TV dans lequel on la voyait prêcher pour le mariage pour tous dans des écoles [6].
Rappel des faits pour
d’autres élus socialistes
Serge Andréoni,
sénateur-maire des Bouches-du-Rhône : complicité de trafic d’influences.
Mis en examen lundi 17 octobre 2011, pour « complicité de trafic
d’influence », il est soupçonné d’avoir fait désigner un avocat ami
pour aider le frère de Jean-Noël Guérini, Alexandre, à régler un litige
financier qui l’opposait à la communauté d’agglomération de Salon-de-Provence.
Sylvie Andrieux, député
des Bouches-du-Rhône : escroquerie. Mise en examen le 8 juillet 2010 pour
« complicité de tentative d’escroquerie et complicité de détournement
de fonds publics » pour un montant estimé à 740 000 €, grâce à des
associations fictives.
Khadija Aram,
adjointe au maire de Trappes : abus de confiance. Condamnée le 27 avril
2011 à deux ans de prison, dont 18 mois avec sursis, pour avoir promis contre
rémunération, à des personnes en situation irrégulière des titres de séjour
qu’elle n’a jamais obtenus, ainsi que cinq ans d’interdiction de droits
civiques et civils.
Martine Aubry, maire
de Lille : homicide et blessures involontaires. Mise en examen. L’ancienne
ministre du Travail des gouvernements Cresson et Jospin est mise en examen en
tant qu’ancienne directrice des relations du travail (DRT) pour la période
1984-1987, durant laquelle elle n’aurait pas pris les mesures permettant
d’éviter l’exposition des travailleurs à l’amiante. La cour d’appel examinera
la demande d’annulation de mise en examen le 17 mai prochain. Le 27 mars 2013,
la juge Marie-Odile Bertella-Geffroy, qui s’occupe du dossier de l’amiante, a
été déchargée de ses fonctions par décret du président François Hollande [7].
Jean-Pierre Balduyck, député
du Nord : favoritisme. Condamné par le tribunal correctionnel de Lille à 7
500 euros d’amende en 2005 après 7 ans de mise en cause, alors qu’il était
maire de Tourcoing, pour complicité d’atteinte à la liberté des marchés publics
dans l’affaire du Grand Mix de Tourcoing.
François Bernardini, maire
d’Istres : détournement de fonds publics. Condamné en 2001, en appel, à
dix-huit mois de prison avec sursis, 400 000 francs d’amende et cinq ans
d’inéligibilité.
François-Xavier Bordeaux , dirigeant du PS bordelais : abus de
faiblesse. Condamné à la peine de deux ans de prison dont un ferme, assortie de
cinq ans de privation des droits civiques, civils et de famille, pour avoir
abusé de la faiblesse d’une vieille dame fortunée, Jeanine Terrasson.
Christian Bourquin , président du conseil général des
Pyrénées-Orientales : favoritisme dans l’attribution de marché public.
Condamné. Soupçonné, dès 2001, d’avoir trafiqué ses comptes de campagne, il est
condamné en 2009, à trois mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende
pour minoration de comptes de campagne et complicité de faux. En 2008, il est
mis en examen pour favoritisme dans le cadre d’un marché public et de nouveau
condamné, début janvier 2012, à deux mois de prison avec sursis pour ces
« faits graves ».
Pascal Buchet, maire
de Fontenay-aux-Roses : harcèlement. Condamné à 8 000 euros d’amende par
le tribunal correctionnel de Nanterre, coupable de harcèlement moral à
l’encontre de son ex-directrice de la communication, qui s’est suicidée en
2007.
Jean-Christophe
Cambadélis, député de Paris : recel d’abus de confiance. Condamné. Mis
en examen le 7 juin 2000 pour abus de confiance, il est reconnu « coupable
de recel d’abus de confiance » le 2 juin 2006 et il est condamné à six
mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende, dans l’affaire des emplois
fictifs de la MNEF.
Yacine Chaouat,
adjoint au maire du 19e arrondissement
de Paris : violences conjugales. Condamné par le tribunal correctionnel à
six mois de prison avec sursis et dix-huit mois de mise l’épreuve, pour
violences conjugales sur son épouse. En août 2009, Fatima, 21 ans, avait été
battue à coups de ceinture et retenue à son domicile, alors qu’elle venait
d’arriver de Tunisie.
Gérard Dalongeville, maire
d’Hénin-Beaumont : détournement de fonds publics. Mis en examen en 2009,
il attend toujours son jugement pour « faux en écriture et usage de
faux, détournements de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme ».
Ce procès aura lieu en mai-juin 2013 et pourrait mettre de nombreux membres du
PS en cause. Dalongeville voudrait faire intervenir Hollande comme témoin à son
procès [8].
Michel Delebarre , député du Nord : écoutes illégales.
Condamné. Cet ancien ministre de la Fonction publique sous Mitterrand a été
condamné en 2005 dans le cadre de l’affaire des écoutes de l’Élysée. Il a été
notamment reconnu coupable du placement sur écoutes de Jean-Edern Hallier,
journaliste qui menaçait de révéler l’existence de Mazarine à l’opinion. Il est
dispensé de peines.
Monique Delessard, maire
de Pontault-Combault : faux en écriture publique. Condamnée le 14 mai 2010
par la cour d’appel de Paris à 15 mois de prison avec sursis et à une peine
d’inéligibilité pour avoir marié illégalement l’ancien député-maire Jacques
Heuclin, à l’article de la mort.
Harlem Désir , député européen : recel d’abus de
biens sociaux. Condamné le 17 décembre 1998 à 18 mois de prison avec sursis et
30 000 francs d’amende pour recel d’abus de biens sociaux. Il avait bénéficié
au début des années 1990 d’un emploi fictif, lorsqu’il était à la tête de SOS
racisme, financé par une association lilloise.
Jean-Pierre Destrade,
conseiller général de Saint-Pierre-d’Irube : trafic d’influences. Condamné
en 2005 à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 10 000 euros d’amende dans une
affaire de trafic d’influence et d’escroquerie, une peine couverte par sa
détention provisoire.
Janine Écochard, vice-présidente
du Conseil général des Bouches-du-Rhône : trafic d’influence. Condamnée en
1998 dans l’affaire Urba sur le financement occulte du PS.
Henri Emmanuelli,
président du Conseil général des Landes : complicité de trafic
d’influences. Condamné le 16 décembre 1997 dans l’affaire Urba à 18 mois de
prison avec sursis et à 2 ans de privation de ses droits civiques. Également
mis en examen le 15 octobre 1998 dans le cadre de l’affaire Destrade de
financement illégal du Parti socialiste, il est relaxé.
Robert Gaïa , député du Var : favoritisme.
Condamné le 21 janvier 2002 à six mois de prison avec sursis pour favoritisme
dans l’attribution du marché des cantines scolaires de la ville de Toulon en
1997.
Bernard Granié,
président d’une intercommunalité Bouches-du-Rhône : corruption. Condamné
le 7 septembre par la cour d’appel d’Aix-en-Provence à deux ans de prison ferme
et cinq ans d’inéligibilité. La cour a en effet estimé que fournir des
informations confidentielles – contre 300 000 euros de pots-de-vin – à une
société de traitement de déchets candidate à un marché public constituait une
faute gravissime.
Jean-Noël Guérini , président du Conseil général des
Bouches-du-Rhône : association de malfaiteurs. Mis en examen le 8
septembre 2011 pour « prise illégale d’intérêts, trafic d’influence,
association de malfaiteurs et complicité d’obstacle à la manifestation de la
vérité » pour avoir favorisé son frère dans le cadre de marchés
publics.
Anne Hidalgo , adjointe au maire de Paris :
infraction à la législation sur la durée du travail. Condamnée le 26 janvier
2012 à 40 000 euros d’amende pour infraction à la législation sur la durée du
travail au titre de ses fonctions de présidente du conseil d’administration de
l’APUR (Atelier parisien d’urbanisme), alors qu’elle est elle-même ancienne
inspectrice du travail. Cette condamnation fait suite à deux plaintes déposées
au tribunal de police par l’inspection du travail, ’une pour « travail
dissimulé », l’autre pour non-paiement des heures supplémentaires.
Jean-Paul Huchon,
président du Conseil régional d’Île-de-France : prise illégale d’intérêts
dans des marchés publics. Condamné. En novembre 2004, après l’envoi d’une
lettre anonyme sur l’existence d’emplois fictifs au Conseil régional d’Île de
France, il est jugé avec son épouse, Dominique Le Texier, pour prise illégale
d’intérêts dans des marchés publics passés en 2002 et 2003, entre le Conseil
régional et les sociétés de communication Image Publique, Sertis et LM
Festivals, employant sa femme. Il est condamné à 6 mois de prison avec sursis,
60 000 euros d’amende et un an d’inéligibilité le 20 février 2007 par le
tribunal correctionnel de Paris, puis la peine est confirmée en appel le 21
novembre 2008, hormis l’inéligibilité.
Philippe Kaltenbach, maire
de Clamart : corruption. Mis en cause. Suite à la diffusion d’une vidéo
sur Internet, où on le voit négocier contre de l’argent l’attribution d’un
logement au proche d’un collaborateur, une enquête préliminaire a été ouverte,
dans laquelle il est soupçonné de corruption dans l’attribution de logements
sociaux. Deux juges d’instruction de Nanterre sont chargés, depuis le 22
février, d’une information judiciaire ouverte pour « corruption active
et passive, recel, complicité ».
Jean-Pierre Kucheida,
député-maire du Pas-de-Calais : détournement de fonds. Mis en cause dans
le scandale du financement de la fédération Pas-De-Calais. A été placé en garde
à vue en octobre 2012 dans ce qui semble bien être un abus de biens sociaux. Il
a démissionné de son mandat de maire en Janvier 2013 et a été exclu du parti
socialiste en mai 2012.
Michel Laignel, député
et conseiller général des Bouches-du-Rhône : favoritisme. Condamné. Le 14
juin 2005, alors poursuivi pour « favoritisme, prise illégal d’intérêts
et faux et usage de faux, en écriture publique » le maire de Ronchin a
été condamné à deux ans de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité.
Jack Lang, député
du Pas-de-Calais : rupture de contrat. Condamné le 6 janvier 2009 par le
TGI de Paris à verser 34 000 euros à l’éditeur Bernard Pascuito, qui l’avait
assigné pour rupture de contrat après que l’ancien ministre se fut opposé en
2006 à la publication d’un livre qu’ils avaient co-écrit.
Jacques Mahéas,
sénateur de Seine-Saint-Denis : agression sexuelle. Condamné en mars 2010,
pour agressions sexuelles contre une ex-employée municipale, pour des faits
survenus en 2002. La plainte a été déposée en 2004 mais il faut attendre 2011
pour qu’il démissionne du PS, sous menace d’exclusion. Soutien de François
Hollande pendant la primaire socialiste.
Pierre Mauroy,
sénateur du Nord : abus de confiance. Condamné. Le 20 juin 2008, il est
mis en examen pour détournement de fonds publics à propos d’un emploi présumé
fictif attribué à Lyne Cohen-Solal au sein de la communauté urbaine de Lille
(CUDL) en 1992. Le 4 février 2011, Pierre Mauroy est condamné à 20 000 euros
d’amende avec sursis pour abus de confiance et devra, avec Lyne Cohen-Solal et
Bernard Masset, son ancien directeur de cabinet, rembourser 19 654 euros à la
CUDL.
Jacques Mellick,
député-maire de Béthune dans le Pas-de-Calais : faux témoignages. Condamné
en 1996 par la justice à abandonner tous ses mandats suite à sa condamnation
pour témoignage de complaisance dans l’affaire VA-OM.
Robert Navarro,
sénateur de l’Hérault : abus de confiance. Cible d’une plainte déposée par
le PS en mars 2011 pour « abus de confiance », pour des frais
personnels et 42 000 euros de pizzas qui ont été facturés à la Fédération PS
entre 2008 et 2010. Soutien de François Hollande à la primaire socialiste, il
intègre son équipe de campagne durant l’été 2011. Navarro est exclu depuis 2010
du PS pour son soutien à George Frêche. La plainte du PS pour « abus de
confiance » a débouché sur une mise en examen en décembre 2012 [9].
Jean-Pierre Noyes , conseiller général des
Bouches-du-Rhône : association de malfaiteurs. Mis en examen le mercredi
11 janvier 2012 pour des faits d’association de malfaiteurs. Il est soupçonné
d’avoir favorisé l’attribution d’emplois et de logements sociaux au profit de
proches d’Alexandre Guérini, le frère cadet du président PS du Conseil général
des Bouches-du-Rhône, alors qu’il était le président jusqu’en juin 2011 de
« 13 Habitat », l’office HLM rattaché à la collectivité locale.
Jean-Marc Pastor,
sénateur/questeur du Sénat : notes de frais frauduleuses. Mis en cause par
le site Médiapart, qui révèle le 27 juin 2011 que le sénateur avait transmis à
la trésorerie du Sénat deux factures de restaurant émises dans le Tarn, son
département, pour un montant total de 2 492 euros. Il menace Médiapart de
poursuites, produisant un faux communiqué de Gérard Larcher pour l’occasion,
alors président du Sénat, avant de se rétracter et de rembourser l’intégralité
des notes de frais.
Michel Pezet, député
des Bouches-du-Rhône : recel de fonds. Condamné. Mis en cause dans
l’affaire Urba en 1991, il est innocenté par la justice le 16 décembre 1998 de
toute accusation d’enrichissement personnel ; en revanche, il est condamné
pour « recel de fonds utilisés [pour
un financement politique] en dehors
de tout enrichissement personnel ».
Claude Pradille,
sénateur du Gard : corruption. Condamné en 1995 à trois ans de prison de
ferme, trois ans d’inéligibilité et 300 000 francs d’amende. Il avait été jugé
pour « faux et usage de faux, corruption, complicité d’escroquerie et
subornation de témoins » dans une affaire où il était soupçonné
d’avoir fait construire sa piscine sur des fonds publics de l’Office HLM du
Gard [10].
Eli Puigmal, maire de
Saint-Estèves : délit de favoritisme. Condamné le 26 janvier 2012 délit de
favoritisme dans les conditions d’attribution de marché d’organisation de
spectacles à l’association Boitaclous en 2009 alors qu’il était maire de
Saint-Estève.
François Pupponi,
député-maire de Sarcelles : extorsion de fonds. Mis en cause. Auditionné
le 3 septembre 2010 dans le cadre d’une enquête sur un cercle de jeu parisien
pour « blanchiment » et « extorsion de fonds ».
Accusé de « subordination de témoin » par son directeur de
cabinet, il aurait essayé de persuader sa belle-fille de démissionner du cercle
Wagram, comme l’exigeaient les nouveaux patrons corses.
Ségolène Royal , présidente de la région
Poitou-Charentes : licenciements abusifs. Condamnée en 2008 par la cour
d’appel de Rennes, l’ancienne candidate socialiste à l’élection présidentielle
à dû verser plusieurs mois de salaires non-payés à deux de ses attachées
parlementaires ayant travaillé pour elle entre 1995 et 1997.
Patrick Sève, maire
de l’Haÿ-les-Roses : détournement de fonds publics. Mis en examen le 8
septembre 2011 pour « octroi d’avantages injustifiés et soustraction de
fonds publics », pour un montant d’environ 2 millions d’euros, et pour
avoir bénéficié de pots-de-vin dans l’octroi de marchés publics dans sa
commune.
Dominique Strauss-Kahn, ancien
député-maire du Val d’Oise : complicité de proxénétisme. Après son procès
pour viol dans l’affaire du Sofitel de New York, Dominique Strauss-Kahn a été
mis en garde à vue et entendu le 21 février 2012 pour complicité de proxénétisme
dans l’affaire du Carlton de Lille. L’instruction pour l’affaire du Carlton est
terminée depuis fin mars 2013. L’annulation de la mise en examen de DSK
demandée par sa défense n’a pas aboutie, il comparaîtra donc certainement dans
le cadre d’une accusation de « proxénétisme aggravé en bande organisée »
( il risque jusqu’à 20 ans de prison) [11].
René Teulade,
sénateur-Maire de Corrèze : abus de confiance. Condamné par le tribunal
correctionnel de Paris à 18 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende.
Il s’est rendu coupable d’abus de confiance dans le scandale de la Mutuelle de
retraite de la fonction publique (MRFP). Il a été le suppléant de François
Hollande à l’Assemblée entre 1997 et 2002.
André Vallini , sénateur de l’Isère : licenciement
abusif et harcèlement moral. Poursuivi par son attachée parlementaire, avec qui
il a fini par trouver un accord. Proche de François Hollande, cet ancien
président de la commission Outreau conseille le candidat socialiste sur les
questions de justice.
Si vous ne trouvez pas cette liste assez
longue c est normal, avec les années qui passent, c est la continuité, et donc
d autres vont se greffer, tels que Claude GUEANT, Eric WURTZ et autres.
Sans
oublier aussi, les pauvres enfants, comme le fils FABIUS, le fils MARIESOL
TOURAINE, ou les pauvres frères de
Rachida DATI ou Fadela AMARA.
NOUS AVONS DE QUOI ETRE DÉGOUTTÉ D ETRE HONNÊTE
MAIS NOUS AVONS NOTRE BONNE CONSCIENCE POUR NOUS PAS EUX.
MAIS NOUS AVONS NOTRE BONNE CONSCIENCE POUR NOUS PAS EUX.
COMME UNE CÉLÉBRITÉ LE DISAIT JUSTEMENT
LES CONS ET LES POURRIS CA OSENT TOUT C EST A CA QU ON
LES RECONNAIT
Tous pourris, il faut les faire travailler dur ces nantis ,il faut les mettre sur les routes,les faire faire le tri selectif et le ramassage des ordures,il faut qu'ils travaillent dur pour rembourser à la France et aux français tout ce qu'ils ont pu spolier!!!
RépondreSupprimerEt surtout il faut définitivement les dégager de toute la sphère politique!!!
Du balai!!!!!!
La petite fraise des bois.
Ala petite fraise des bois.
RépondreSupprimerIl ne faut pas oublier non plus les syndicalistes à la noix de coco tels josé bové,le célèbre martin du nord qui était tellement vrai lorsqu'il parlait au peuple lors de la fermeture des hauts fourneaux celui même qui critiquait hollande et qui allait lui faire la vie dure...pauvre martin tu me dégoutes tu as tellement bien manoeuvré que pour de l'argent tu t'es laissé acheter par le même parti que tu critiquais et tu auras ta place au conseil de l'Europe comme ton ami bové......
Eux aussi sur les routes ou au tri sélectif!!!!
Il faut du propre pour la France pas des menteurs et des sales.
Fleur de lys.
Tout à fait d accord Fleur de Lys, le simple fait d entendre leur nom, les entendre parler, voir leur visage à la télé nous dégoutte de plus en plus tant ils sont sales. Il y a longtemps que je n écoute plus leurs vœux de fin d année.
SupprimerDans ce milieu de pourris, tous les acteurs sont des menteurs.
RépondreSupprimerLes plus mauvais et malhonnêtes d'entre eux; font de la politique.
LIBERTE - FRATERNITE - VAS TE FAIRE N.....QUER
@
Ces acariens nous sucent le sang pour pouvoir s'enrichir sur notre compte.
RépondreSupprimerNous ne sommes même pas capables de faire comme les Arabes pour avoir un printemps français.
Sont à mettre tous dans un filet , à la mer et se faire bouffer par les requins, sa me dégoutte . Que des profiteurs, menteurs.
RépondreSupprimerQuelle honte.