A de maintes reprises j ai précisé que ces guerres ne sont pas les nôtres, nous n avons pas à faire intervenir et tuer nos soldats. D ailleurs avez vous vu d autres européens y participer ??? S agissant de TERRORISME tant mépriser par les Américains, les avez vous vu ????
Il sont surement plus enclin à agir sur les terroriste se trouvant sur leur sol, ou lorsqu il a du Pétrole à récupérer comme se fut le cas en IRAC
Des conflits du même genre existent partout dans le monde, va t il falloir intervenir aussi ???
NOS GOUVERNANT FERAIENT MIEUX DE S OCCUPER DE LEUR PAYS ce dont ils sont déjà incapables alors s occuper des autres dépasse l imagination.
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LES GUIGNOLOS DU QUAI D'ORSAY (par Maurice D.)
Hollande et Fabius sur la scène internationale, c'est guignol !
Au Moyen-Orient, c'était déjà évident.
Mais parlons de l'Afrique d'abord, où la guerre du Mali n'est toujours pas terminée.
"Il n'y aura plus de soldats français en décembre 2013", avait promis François Hollande.
Ils étaient trois mille à l'issue de l'opération Serval, il fut annoncé en début d'année qu'il n'en restait que 1 000, en réalité - et il faut recouper plusieurs sources pour le savoir -, ils sont toujours 2 800 et pas prêts de rentrer.
Que ce soit Kidal, Tombouctou ou même Bamako, les attentats et incursions islamistes ont repris. Il y a pourtant l'armée malienne et paraît-il 6 000 autres soldats africains sous autorité onusienne, mais bon, ils ne seraient pas très efficaces.
Alors le président Ibrahim Boubakar Keïta (IBK) fraîchement élu en août est venu début octobre à Paris expliquer à son "papa François" qu'il fallait laisser les soldats français pour lui permettre de garder son pouvoir déjà menacé.
C'est que la situation est compliquée :
IBK veut empêcher les islamistes de revenir en force, mais il est lui-même islamiste, soutenu par le Haut Conseil Islamique du Mali.
En fait ce n'est pas les terroristes musulmans qu'il veut faire éliminer par la France, mais les Touaregs musulmans, il n'est pas certain que Hollande et Fabius l'aient bien compris ainsi.
Or dans le Nord du Mali, l'armée française a habilement rallié les Touaregs pour qu'ils l'aident à dénicher les Arabes musulmans d'AQMI et autres groupes narco-terroristes.
Arabes, Touaregs, Noirs maliens, tous musulmans.
Dans ce sac de vipères musulmanes, IBK n'est pas la moins venimeuse et on ferait bien de le laisser se débrouiller tout seul, mais François l'aime et pense le tenir en bien main en encourageant son ivrognerie par de bonnes livraisons de vins fins.
IBK peut se permettre de boire sans pécher contre Allah, paraît-il, parce qu'il serait de rite malékite. IBK est membre de l'Internationale socialiste comme l'étaient Moubarak, Gbagbo et Ben Ali et le sont encore bien d'autres dictateurs africains.
Donc copain de Ségolène Royal, Jospin et Valls entre autres.
De ses 26 ans passé en France il a laissé une réputation de noceur, baiseur et picoleur (sources Nouvel Observateur et Rue 89), il a tout pour plaire à Hollande qui ne le lâchera pas, même quand il tournera dictateur sanguinaire comme les autres.
C'est par exemple Hollande qui lui a soufflé de dénigrer l'autre candidat à la présidentielle malienne, le très compétent Soumaïla Cissé, comme "l'homme de la finance internationale".
Le journal algérien Liberté s'en moque en parlant du retour des bonnes vieilles méthodes de France-Afrique que Hollande avait pourtant promis d'éradiquer.
Donc, nous avons 2 800 soldats au Mali. Il y en avait 500 en Centrafrique (RCA), très occupés à défendre l'aéroport où ils campent, et les intérêts de Total dans le pays.
Les journaux centrafricains le reprochaient à la France :
"À quoi servent-ils sinon à protéger ses intérêts pendant que le peuple se fait massacre par les terroristes de Séléka ?".
Hollande a décidé d'envoyer 1 000 soldats français pour renforcer les 500 déjà présents avec pour objectif de "rétablir l'ordre". L'ONU applaudit et promet d'envoyer des renforts dès que l'Union Africaine aura trouvé des pays volontaires pour fournir les effectifs nécessaires.
Mais dans quel objectif ? Hollande n'en a semble-t-il pas d'autre que de se faire à nouveau mousser en chef de guerre.
Parce qu'en Centrafrique la situation n'est pas plus claire et compréhensible pour un quelconque Fabius qu'elle ne l'est au Mali.
RÉSUMONS :
le Centrafrique est peuplé de Chrétiens (80 % + des animistes et quelques musulmans dans le Nord).
Il avait un gouvernement pas trop pourri, juste dans la moyenne africaine, et un président-dictateur moins pourri que les autres, François Bozizé, arrivé à la présidence par un coup d'État. Rien de surprenant, depuis son indépendance la RCA est toujours en guérillas et coups d'État qui se succèdent, moins pour le pouvoir que pour le pillage du pays.
Dans le Nord de la RCA qui n'a jamais été contrôlé par le pouvoir central, les musulmans ont pris pied et ont constitué des milices islamiques qui se sont regroupées pour former la Séléka ("Alliance" dans la langue locale le sango).
C'est la Séléka qui a renversé Bozizé et l'a remplacé par un président "provisoire", (mais provisoire pour 3 ans tout de même), Michel Djotodja.
Ce dernier est une belle crapule très occupée à s'enrichir, mais qui, pas bête, à dissout la Séléka peu après son arrivée au pouvoir, car il pensait justement qu'elle pourrait très bien se retourner contre lui.
La France va en RCA pour rétablir l'ordre, "une mission de gendarme" a dit Hollande.
Mais contre qui ?
La Séléka, ayant conservé ses armes et ses pick-ups Toyota, s'est fractionnée en milices islamistes, renforcées par des mercenaires musulmans, "des brigands et des coupeurs de route de tout poil", ajoute Le Monde-Afrique, qui pillent, rançonnent, brûlent les villages chrétiens, massacrent à la machette tous les mâles, violent femmes, filles et fillettes avant de les éventrer, "se livrent à des razzias" (sources AFP et Human Rights Watch), bref agissent comme toute bonne armée musulmane de conquête au nom du jihad.
"Une situation pré-génocidaire" a dénoncé le Département d'État américain, description qui fait bondir la presse de gauche qui refuse par idéologie de croire que l'islam puisse commettre des génocides.
Pour se défendre, les Chrétiens ont eux-mêmes formé des milices, les Anti-balaka (balaka = machette en sango) qui font la chasse aux musulmans, violent les musulmanes quand ils en trouvent, pillent leurs maisons avant de les incendier, bref agissent comme l'ont fait de tout temps les Africains quand ils se sentent assez forts pour être en mesure de se défendre.
Pour qui l'armée française va-t-elle recevoir l'ordre de prendre parti dans cette guerre de religion doublée d'une guerre civile ?
Le ministre de la guerre, Le Drian, reste flou.
Pourtant on aimerait être certains que ce sont les Chrétiens dans leur pays que nous allons défendre.
Et que font les Américains pendant ce temps-là ?
Malins ils laissent les Français tirer les marrons du feu, puisque ni Hollande ni Fabius en s'en rendent compte, aveuglés qu'ils sont par leur humanisme socialo à quat'sous.
Mais ils agissent en sous-main dans le domaine social et culturel pour préparer l'avenir et leur retour économique en Afrique par l'intermédiaire d'une organisation très riche :
Et gentiment, ils prêtent à la France leurs transports de troupes pour acheminer ses soldats.
Faudra-t-il aussi aller au Congo, au Rwanda, au Mozambique, revenir en Libye où nous avons mis la pagaille et la guerre civile il y a deux ans pour préparer le retour de la domination américaine en Afrique ?
Maurice D.
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Que l'on rapatrie tous nos militaires chez nous et que l'on envoie en AFRIQUE tous nos politiques avec des armes et un casque avec leur tête HOLLANDE et ZAYRAULT si on les enlève promis je ne paye pas de rançon.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Anonyme mais moi je pourrai payer pour eux quelques deniers à l'Afrique pour les frais de décontamination et dépollution.
RépondreSupprimerFleur de lys.