Un seul vœu pour 2014 :
Que le
Président Hollande et sa clique s’en aillent !
DU BALAI
MENTEUR - TRICHEUR - INCAPABLE ET INCOMPÉTENT
Le Président
Hollande va présenter ses vœux aux Français.
L’exercice est périlleux. Il
s’agit pour lui de chercher un second souffle alors que le premier a commencé
de s’éteindre à l’été qui suivit son élection.
Depuis, il n’a pas fait ce qui
s’imposait : muscler la compétitivité de notre économie.
Il a fait ce qu’il
fallait éviter : opposer les Français sur une loi marginale absurde pour plaire
aux médias en suscitant un rejet massif du socle le plus solide de la
population.
Il fallait rassembler. Il a divisé. Il a tenu un discours
contradictoire et mené une action confuse, multipliant les impôts et les taxes
bien au-delà du slogan visant les riches.
Mais il a aussi, pour sauver les
meubles, créé des dispositifs compliqués en vue de faire autrement ce que son
prédécesseur avait, trop tardivement, entrepris. Le CICE à la place de la TVA
sociale en est le meilleur exemple.
Mal entouré, en premier lieu par des
ministres politiques dont l’incompétence le dispute à l’idéologie militante et
provocatrice, quand elle ne se cache pas sous la communication habile de
l’ambition, Monsieur Hollande apparaît de plus en plus comme l’homme qu’il ne
fallait pas à une place qui n’est pas la sienne.
Ses maladresses, ses échecs de
plus en plus humiliants sur la scène internationale nous rappellent que, pour
la première fois, un apparatchik de parti, un spécialiste des crises de
courants était chargé de représenter la France dans le monde et de superviser
sa politique, sans même avoir été lui-même ministre.
Pour pallier
cette carence, il fallait du génie.
Cela supposait une vision et des objectifs
plus précis afin de la faire partager et de mobiliser les énergies en vue de
lui donner une réalité.
Le « réenchantement du rêve français » aurait dû
inquiéter. La poésie pour midinettes n’a pas l’éclat d’un ordre du jour
politique.
La « nouvelle frontière » de Kennedy ou « la peur de la peur » de Rooseveelt
étaient à la hauteur. Le « rêve français » en quoi consistait-il, sinon dans
les illusions de l’assistance généralisée, de l’Etat omnipotent, de la nation
universelle ?
On a vu le résultat : l’incapacité de réduire la dépense
publique, l’Etat gesticulateur et impuissant, la France multiculturelle qui
efface son identité avec application. Si l’on excepte l’intervention malienne
menée par une Armée qui fait les frais des économies budgétaires, le reste des
politiques suivies est allé d’échec en échec.
À l’extérieur, le chef d’État
novice, confondant Chine et Japon, Egypte et Tunisie, blaguant sur l’Algérie,
s’aventurant sur la Syrie, abandonné par les Anglais, méprisé par les Russes,
négligé par des Allemands qui le guident par la main, a fini par se prendre les
pieds, seul, dans le nœud de vipères africain.
L’indépendance ni la grandeur
ne trouvent leur place dans des actions de commandite qui nous font oublier nos
vrais amis. Le comble : des « Français » participent au Djihad syrien que notre
pays a, sans doute involontairement, encouragé et armé, en oubliant sa
tradition protectrice à l’égard des Chrétiens d’Orient.
À
l’intérieur, la croissance poussive, la courbe du chômage persistante,
l’effondrement de notre industrie témoignent de l’incapacité du pouvoir à
rétablir la confiance par des réformes structurelles, par un plan de
redressement à la hauteur de la situation.
Une politique de technocrates et de
comptables n’est pas une politique. Or, les politiciens qui n’ont ni la
compétence ni le courage de réformer, de trancher le noeud gordien, abandonnent
le pouvoir aux spécialistes des noeuds, aux artistes de la complexité, aux
virtuoses de la mesurette et se réfugient pour compenser dans le discours
idéologique, dans l’action « sociétale ».
Ils ajoutent aux problèmes qu’ils ne
résolvent pas ceux qu’ils inventent.
Faute d’assimiler les étrangers ou de les
ramener chez eux, on va intégrer les Français aux nouveaux arrivants. Faute de
juguler la délinquance, on va vider les prisons surpeuplées.
Faute d’arrêter la
chute des résultats scolaires, on va demander d’arracher les enfants aux
déterminismes familiaux.
On ne sait
quels vœux le Président va formuler. Beaucoup de Français n’en expriment qu’un
: qu’ils s’en aillent, lui et sa clique, le plus vite possible.
1. Il ne partira pas : les institutions, qui avaient été taillées sur mesure pour un président honnête, droit et digne, sont tombées entre les mains des maroufles. Et ils en ont exploité toutes les possibilités, au point que même le vote ne saurait les évincer avant la fin d’un mandat, qu’il soit parlementaire ou présidentiel.
RépondreSupprimerÀ moins qu’il n’y soit contraint par l’insurrection, mais là, c’est un pieux fantasme.
Peut-être sera-t-il désavoué lors des Municipales et son parti de béjaunes lors des Européennes (dont tout le monde se contrefiche, ou presque), mais cela ne l’empêchera pas, lui et sa bande de forbans, de continuer à mal faire.
Non, non ! Nous devrons le subir jusqu’en 2017.
@
Ah si j'étais une fée, je vous aurais dit ,BBR,votre voeu est exhaussé!!!
RépondreSupprimerMais je n'ai aucun pouvoir et mollard premier s'accroche lui et toute sa clique de parasites ,ils sont même devenus arrogants envers la base de la pyramide,et c'est peut être cette arrogance et leur certitude d'être inébranlables qui les perdra!!
@,vous ne croyez pas à un sursaut une insurrection,eux non plus ,mais qui vivra ,verra.
Fleur de lys.
Salut Fleur de lys,
SupprimerAvec cette bande d'acrobates, j'ai du mal à croire à quelque chose de positif. Dieu n'en veut pas, et le diable en a peur.
Cordialement
@
Ont jamais su gérer la France, c'est pas maintenant qu'ils vont le faire que des escrocs.
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