LA PETITE INTRODUCTION DE BBR
On se souvient de cette affaire où Maryvonne 80 ans, n avait pas pu récupérer son logement squattés grâce à la loi DALO fabriquées de toute pièce par deux élus de l UMP - Mmes vomir et boudin (pardonnez moi l orthographe de ces deux idiotes sans majuscules car je ne les attribue qu aux noms propres alors que je les considère sale) et d autre part j ai peine d être précis sur leur identité dont je ne me souviens pas trop, mais on ne doit pas en être loin
Maryvonne ayant vécu chez son compagnon, elle avait laissé son logement vacant qui a été rapidement squatté. A la mort de son compagnon et grâce a cette loi, elle n a pu le récupérer, un procès a donc pris naissance... Le lien pour rappel
Hier nous apprenons la bonne nouvelle que Maryvonne a gagné son procès, mais qu en est il réellement.....
Comme le stipule l auteur de cet article, les complications ne vont que commencer la réintégration de son logement....Et oui toute l administration de fonctionnaires va faire lentement son travail sans trop se soucier du cas de Maryvonne, et nos squatteurs qui trouveront bons défenseurs à nos frais se verront rester encore un bout de temps dans se logement qu ils eu le temps de bien dégradé et donc les frais seront encore à la charge de mamie Maryvonne...
Oui je ne suis pas avocat, ni huissier , ni Préfet, ni la justice, mais si des hommes courageux aves ce qu il faut dans le froc, proche des lieux, viraient à coup de pompe dans le cul les squatteurs , peut être qu ils ne seraient pas prêt de recommencer ... Au lieu de àa ils sont pépère, la justice sait aussi les protéger, elle donne d une main à Maryvonne, ce qu elle lui reprend avec l autre main
Après nos habituelles lenteur de Notre Justice voici donc celles de nos administrations qui sont toujours aussi grandioses pour aider les gens en difficulté, les constats sont alarmants.
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Ce matin, les médias du système nous ont annoncé à grands sons de trompe que la brave Maryvonne de Rennes allait pouvoir retrouver son logement, actuellement squatté par une bande d’énergumènes. La justice ayant tranché en sa faveur, tout serait donc résolu : circulez, braves gens, il n’y a plus rien à voir.
En fait, c’est seulement la première haie d’une longue course qui vient d’être franchie, et c’est maintenant que la vieille dame va s’attaquer aux vrais problèmes. Elle découvrira au bas de son jugement une formule rituelle priant les autorités de lui prêter assistance pour l’exécution de ce jugement. En pratique, Maryvonne va devoir se tourner vers un huissier.
Celui-ci, conscient que ses commandements ont peu de chances d’impressionner les punks à chien, va requérir l’aide de la force publique en la personne du commissaire de police. Ce dernier, peu pressé de se retrouver à la tête de ses hommes devant les caméras de Canal+ (avec John-Paul Lepers au micro), va se couvrir en demandant l’autorisation du préfet.
Le représentant du gouvernement se déclarera tout prêt à accorder l’assistance de la force publique, mais seulement quand conformément à la loi « on aura trouvé une solution de relogement pour les squatters ». Comme on sera déjà fin juin, le service préfectoral chargé de cette mission quasi impossible tournera à effectif réduit. Donc, dans le meilleur des cas, le dossier sera rouvert dans la première décade de septembre.
Là, grâce à l’aide des avocats d’associations financées par vous et moi, il s’agira pour les squatters de faire durer le jeu jusqu’au 1er novembre, date d’interdiction des expulsions jusqu’au 31 mars.
Il leur suffira d’héberger un enfant ou une grand-mère cardiaque et ce sera le jackpot, puisqu’il serait impensable pour le préfet de traumatiser une mamy en verre filé, ou un enfant tout juste scolarisé par un changement d’école…
Au pire, ils peuvent faire camper devant chez eux quelques potes zadistes de Sivens ou Notre-Dame-des-Landes, et ce sera reparti pour des semaines !
Alors courage, Maryvonne, et n’oublie pas de payer tes impôts : tu te rends compte du nombre de fonctionnaires qui s’occupent de ton cas ?
Richard Hanlet Médecin