Le moins que l on puisse dire, c est que les articles ne manquent pas sur l affaire du train ayant causé la mort d une personne avec une possible du mise en cause de DEBBOUZE.
Nous avons toujours entendu parler de cette affaire dans laquelle DEBBOUZE passait pour un Héros en perdant un BRAS pour aider une personne.
La réalité serait elle tout autre ??
Si tel était le cas, comment peux t on vivre avec ce cauchemar qui devrait hanter les plus honnêtes, être bien sans sa peau, comment peux t on faire du spectacle et du fric , comment peux t on être reçu à l Elysée???????
Même avec le non lieu obtenu, bien des questions se posent ?
Comme chez les politiques "beaucoup de non lieu" et toujours autant de doute.
Les différents articles ci-dessous vous éclairerons peut être mais il semble que pour le DEBBOUZE les choses ne soient pas si claires
2 PHOTOS DIFFÉRENTES DE CET HOMME QUE JE N APPRÉCIE MÊME PAS.
COMME QUOI ON PEUT APPARAÎTRE SOUS DES VISAGES DIVERS
La « sale affaire » de Jamel Debbouze
Dans Jamel Debbouze, l’as de cœur, qui
vient de paraître, l’écrivain-journaliste Bernard Violet dresse un portrait
très élogieux de l’artiste franco-marocain.
Un surdoué de la scène, du cinéma,
de la télévision. Toutefois, la vie de Jamel ne manque pas de zones d’ombres, à
commencer par l’accident qui lui a fait perdre l’usage d’un bras.
Le chapitre est intitulé « Une sale
affaire ».
Le 17 janvier 1990, peu après 20 heures, deux jeunes gens
sont fauchés par le rapide Nantes-Paris en gare de Trappes. Jean-Paul Vaïty, un
Réunionnais, est tué sur le coup. Jamel Debbouze s’en sort avec de graves
blessures.
Après avoir risqué l’amputation, il perd définitivement l’usage de
son bras droit. Est-ce un malheureux accident ou autre chose ?
Voleur de vestons
Pour la famille Vaïty, leur fils Jean-Paul était doux
et sociable, « toujours prêt à rendre service ».
En
revanche, Jamel, alors âgé de 14 ans et demi, traîne derrière lui une
réputation de « voyou », « de casseur et de
dépouilleur ». Il aurait tenté de voler le superbe blouson au col de
fourrure, avec plaque de shérif sur le cœur, de Jean-Paul.
En se défendant, ce
dernier serait tombé sur les voies, entraînant son agresseur.
L’accusation est très grave.
Elle n’a pas été retenue
par la justice, qui a prononcé à deux reprises un non-lieu.
Mais les parents de
Jean-Paul continuent à mettre en cause l’artiste à la « tchache »
légendaire.
Ils ont même recruté un détective privé pour relancer l’affaire, en
vain. Bernard Violet, qui a passé près de deux ans pour écrire sa biographie, a
interrogé beaucoup de témoins.
« L’attitude de Jamel Debbouze n’est pas claire
dans ce drame. Quand je lui ai posé la question en février 2008, lui,
habituellement si bavard, s’est contenté de répondre : "Pour
moi, c’est une affaire on ne peut plus claire.
Il y a eu un non-lieu. La
justice a parlé" », raconte le biographe. Bernard Violet
constate que Jamel Debbouze « n’est jamais allé voir la famille de
la victime ».
Un témoin muet
Devenu riche et célèbre, « il n’a jamais
non plus fait un geste en leur faveur ».
Interrogés par le magistrat
instructeur, certains témoins disent avoir vu deux garçons sur les voies, mais
sans assister à une bagarre. En revanche, une jeune femme, Edwige A., raconte à
des amies qu’elle a bien vu Jamel pousser Jean-Paul sur les voies.
Mais pour
elle, pas question de témoigner devant les policiers. On est en banlieue, et
elle a bien trop peur car il s’agit d’un meurtre.
Edwige A., âgée de 17 ans au moment du drame, refuse,
selon Bernard Violet, à trois reprises de déférer aux convocations du juge.
Faute de témoins, les magistrats de la cour d’appel de Versailles confirment en
mars 1993 l’ordonnance de non-lieu signifiée deux ans plus tôt.
Interrogée en
septembre 2007 par Bernard Violet, Edwige A. déclare par téléphone : « J’ai
peut-être pu dire que j’avais vu l’un des garçons pousser l’autre, mais le mot
"meurtre" me semble très grave et ne faisait en tout cas pas partie
de mon vocabulaire ».
Quant aux trois convocations du tribunal, Edwige
A. prétend n’avoir jamais été au courant.
Jamel Debbouze a commis un meurtre ?
Le 17 Janvier 1990, soit il y a quinze ans, Jean
Paul ADMETTE, fils de Michel et
Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée
en gare de Trappes.
Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et
laissera aussi des séquelles à Debbouze, cette célèbre main qu’il cache
obstinément dans se poches.
Marlène ADMETTE est catégorique : « c’est bien Jamel
Debbouze qui a tué mon fils » annonce Marlène.
« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils,
c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera d’admettre
Marlène ADMETE.
« Immédiatement
après l’accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que
c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée.
Et c’est à
ce moment là Que Jamel a lui-même été blessé à la main.
Le seul problème est
que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au
commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige
ANZOUANA qui persistera dans ses déclarations »
Jamel fut poursuivit pour homicide involontaire suite a la
plainte déposée par les ADMETTE mais il obtiendra un non-lieu, et Jamel n’aura
jamais dénié présenté ses excuses à la famille ADMETTE venu dans l’Ile de la
Réunion pour rendre hommage à leur fils disparu.
Jamel était venu dans l’Ile de
la Réunion du comique en Janvier, à cette occasion les ADMETTE ont rappelé à
l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt,
semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause
de « maladie ».
« Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison
qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas.
Il faut que la vérité
éclate » conclut Michel.
« Jamel
Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à Trappes, 19 rue du Moulin
de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à
Trappes.
Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à
Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes des
« zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans
le train.
Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a
jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu,
à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en
voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs
jamais retrouvé.
On ne nous a rendu que le corps. Oui je c’est bien Jamel qui a
tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie
ferrée » dénonce Marlène.
Avec tout ce qu’on entend dans les médias, je ne sais pas quoi
penser de cette histoire. Malgré le fait que j’aime beaucoup Jamel, je ne
connais pas son passé, et j’ai cru entendre à plusieurs reprises de drôle
d’histoire sur ce personnage, donc je n’apporterai pas de jugement à cette
affaire.
J’espère bien sûr qu’il n’est pas coupable de ce qu’on l’accuse, mais
je n’ai pas de preuve, donc je reste neutre.
Et en ce qui concerne ça main,
même si cela pourrait effectivement être une explication au fait qu’il laisse
toujours sa main dans sa poche, j’ai également, entendu à plusieurs reprises
qu’il avait une malformation de la main.
Que croire ?
LE RÉCIT INCROYABLE D’ UNE FEMME MEURTRIE, PERSUADÉE QUE SON
FILS A ÉTÉ TUÉ PAR JAMEL DEBBOUZE.
Voici les faits tels qu’elle les raconte :
Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et
Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui
arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel
Debbouze, cette célèbre main qu’il cache dans sa poche.
« C’EST BIEN JAMEL DEBBOUZE QUI A POUSSÉ MON FILS SOUS LE
TRAIN. »
Marlène Admette est catégorique : « C’est bien Jamel
Debbouze qui a tué mon fils », annonce t-elle.
« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils,
c’est lui qui a poussé mon fils sous le train », ne cessera d’admettre Marlène
Admette.
« Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont
affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui a poussé mon fils sur la
voie ferrée.
C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la
main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes,
quand ils sont arrivés au commissariat de Saint Cyr l’École, tous sauf une
jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »
Toujours selon ses dires, Jamel fut poursuivi pour homicide
involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra
un non-lieu. La dame ajoute que Jamel n’aurait jamais dénié présenter ses
excuses à la famille Admette.
Jamel était venu dans l’Île de la Réunion en janvier, à
cette occasion les Admette ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que
l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses
représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».
« JE PEUX VOUS DONNER L’ADRESSE DE JAMEL À TRAPPES. C’ÉTAIT
UN DÉLINQUANT, UN VOLEUR DE VOITURES. »
« Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison
qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas.
Il faut que la vérité éclate »,
conclut Michel. « Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à
Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant, comme
un voleur de voiture, à Trappes. »
« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier
1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 heures. Jamel était accompagné de deux
autres personnes.
Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le
train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais
été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé
mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient,
tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé.
»
JAMEL, SON CRIME LUI AURAIT COÛTÉ SA MAIN
« On ne nous a rendu que le corps. Oui je sais bien que
Jamel a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur
la voie ferrée », dénonce Marlène.
Si par hasard cela pouvait être vrai, comment peut-il vivre
avec ce poids sur la conscience ? En tout cas, il n’a pas encore démenti les
dires de cette famille, dires qui commencent à faire le buzz sur la toile.
Jamel Debbouze rattrapé par son passé
Comme pour toutes
célébrités, les journalistes creusent dans leurs passés afin de faire ressortir
des erreurs de jeunesse.
Bien évidemment, Jamel
Debbouze n'échappe pas à la règle et les
journalistes n'hésitent pas à lui rappeler l'accident qui lui a coûté son bras
et la mort de Jean Paul Admette,
fils de Marlène Admette, le 17 Janvier 1990.
Ce jour la, Jean
Paul Admette, est poussé sur la voie ferrée en gare
de Trappes.
Un train qui arrive à 150 km à l'heure le faucha et laissera aussi
des séquelles à Jamel Debbouze,
cette célèbre main qu'il cache dans sa poche.
Madame Admette fût
catégorique et dénonça ce qui suit :
"c'est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils".
"Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l'adresse à Trappes,
19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur
de voiture à Trappes.
Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990
chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres
personnes des « zoulous ».
Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis
dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n'a
jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu,
à piégé mon fils en lui cachant qu'ils était accompagné de voyous qui en
voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l'on d'ailleurs jamais
retrouvé.
On ne nous a rendu que le corps.
Oui je c'est bien Jamel qui a tué
mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie
ferrée."
" J'affirme que Jamel Debbouze est l'assassin de mon fils, c'est lui qui a poussé mon
fils sous le train »
" Immédiatement après l'accident
plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c'est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée. Et c'est
à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est
que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au
commissariat de St Cyr l'Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANAqui persistera dans ses déclarations "
L'affaire fût menée en justice et Jamel
Debbouze poursuivit pour homicide involontaire suite a la
plainte déposée par la famille Admette.
Le comique obtiendra un non lieu.