Je tiens à préciser à tous mes lecteurs que je ne suis pas l auteur de cet article, mais qu il est très intéressant, très bien écrit, ne précisant que des vérités qui se confirment avec le temps, si bien que j ai trouvé indispensable de vous le faire partager. Bonne lecture à vous et merci.
LES RACINES DU MAL
Il y eut les Trente Glorieuses... La fin de la 2ème guerre mondiale, le baby-boom, l'espoir d'un monde meilleur, le progrès, la reconstruction, le travail en abondance, l'ascenseur social...
Même si tout était un peu obscurci par l'instabilité gouvernementale de la IV ème République et les dernières et dramatiques convulsions coloniales, cette période restera dans l'histoire comme un "remake" des années folles. Un genre de décompression après la guerre...
Et puis, à partir des années 70 / 80, tout se grippe et surviennent alors les Trente Piteuses.
La France se met à délirer et divaguer, s'éloignant des valeurs qui l'avaient forgée, dépensant à tout va, jusqu'à construire un pseudo "modèle français" qui se révèle n'être qu'imprévoyance, impéritie, manque de stratégie et de vision à long terme, dépenses inconsidérées, faiblesses coupables et abdication devant les revendications syndicales, corporatistes, catégorielles et même communautaristes.
Aujourd'hui, dirigée qui plus est par des toquards incompétents, la France s'écroule. La France se meurt, annoncent certains.
Les anciens ne
reconnaissent plus la Patrie qu'ils ont aimée, les autres, obnubilés par
une vie professionnelle de plus en plus difficile et aléatoire, se sentent plus
concernés par leur propre précarité que par l'affaiblissement de
la France, ignorant hélas que ces deux drames sont étroitement liés.
Quant aux plus jeunes, intoxiqués et décervelés par le
"prêt-à-penser" dans lequel ils macèrent depuis leur tendre
enfance, ils ont évacué depuis longtemps la religion pour la remplacer par
un dogme prétendument humaniste et internationaliste, forgé sur l'idée
fixe et confuse que la France se doit d'être un abri pour tous
les damnés de la terre en général et pour la racaille africaine en particulier.
Sans imaginer un seul instant qu'ils payeront cher un jour cet abandon des
intérêts supérieurs de leur Patrie. Mais l'idée de "Patrie" elle-même
a été diabolisée, comme tant autres, pour complaire à l'idéologie triomphante.
D'où vient donc la racine de ce mal qui blesse, meurtrit et menace de détruire notre pauvre pays ?
D'où vient donc la racine de ce mal qui blesse, meurtrit et menace de détruire notre pauvre pays ?
LA FRACTURE DE MAI 68
Fin des années 60... La France s'ennuie et elle doute. Elle a rajeuni, les baby-boomers ont l'âge des monômes. Survient mai 68 et le renversement général des valeurs, "il est interdit d'interdire", "il faut jouir sans entraves", "ne pas perdre sa vie à la gagner".
L'économiste René Dumont lance l'écologie politique, ignorant comment ce concept - initialement juste et plutôt intelligent - sera un jour dévoyé et retourné contre son propre pays.
On prône naïvement le "retour à la terre" et on applaudit le développement des "communautés", imitation imbécile et mélange raté entre communes chinoises et kholkozes israéliens.
On rejette vigoureusement la "société de consommation" (dont on continue pourtant de profiter au maximum !) et on se bat pour "sauver le Larzac", préférant privilégier la production de quelques fromages de chèvres à l'entraînement militaire ("oh horreur") qui permettrait peut-être d'empêcher une nouvelle débâcle.
Les "patrons" sont cloués au pilori, le "capitalisme sauvage" est déclaré source de tous les malheurs des hommes.
Mais on fait sans vergogne l'apologie du communisme, et de toutes ses déviances mortifères, de Staline à Mao, en passant par Castro, Tito et même Ceausescu ! Le criminel Che Guevara devient un héros mondial, sa gueule d'ange exterminateur reproduite sur les T-shirts de la jeunesse dorée.
Et bien évidemment on conspue les USA "impérialistes et totalitaires" qui vont pourtant bientôt lancer une nouvelle révolution industrielle, celle de la micro-informatique et d'internet...
On "relativise" toutes choses, n'hésitant pas à utiliser tous les anachronismes possibles. On refait le monde à coup de café du commerce, on vote des "lois mémorielles" (ce que même le III° Reich n'avait osé faire), on réécrit l'histoire aussi, à l'occasion. Pourquoi se gêner ?...
ENDOCTRINEMENT
C'est l'endoctrinement général dès l'âge de 6 ans, par une Education Nationale sérieusement noyautée par les trotskystes gauchistes.
A partir de 1970, les jeunes
universitaires les moins doués s'engouffrent dans l'enseignement public.
"Pour 3 raisons" disaient-ils alors, en
ricanant : "juillet, août et septembre !". Exit
l'instituteur admirable, hussard de la III° République, la décadence
peut commencer.
Avec l'idée bien arrêtée d'en faire le moins
possible, de bénéficier de la sécurité de l'emploi, de prendre 4 mois
de vacances par an, (si possible aller à Katmandou en 2 CV un
"must", avec le Cap Nord) et de pomper le plus
d'argent possible. De l'argent public, cela va de soi, car l'argent privé,
c'est forcément du vol !
Quelques prétendus intellos ayant mal digéré Proudhon et Marx, enseignent doctement la théorie de la plus-value, symbole du "vol perpétré au détriment de la classe ouvrière". Le tout ficelé dans une idéologie marxisante et haineuse de l'entreprise et des entrepreneurs, c'est à dire du risque, du courage et de l'innovation.
Ce processus détestable ne s'est pas imposé d'emblée, mais progressivement. Il émerge d'abord lentement et insidieusement sous Pompidou et Giscard, mais s'épanouit véritablement en 1981 avec l'élection de Mitterrand. C'est alors l'apologie du "service public", des "nationalisations" et même la promotion du "Temps Libre" qui obtient même un ministère de ce nom !
On notera avec intérêt que Mitterrand - qui n'aimait pas les riches et l'argent, antienne reprise par son clone insipide trente années plus tard - fut à l'origine de la création d'une machinerie particulièrement efficace pour financer l'œuvre destructrice du PS et de ses dirigeants. J'ai nommé la société Urba Graco autour de laquelle orbitaient un grand nombre de satellites bidon plus ou moins avouables.
Quelques prétendus intellos ayant mal digéré Proudhon et Marx, enseignent doctement la théorie de la plus-value, symbole du "vol perpétré au détriment de la classe ouvrière". Le tout ficelé dans une idéologie marxisante et haineuse de l'entreprise et des entrepreneurs, c'est à dire du risque, du courage et de l'innovation.
Ce processus détestable ne s'est pas imposé d'emblée, mais progressivement. Il émerge d'abord lentement et insidieusement sous Pompidou et Giscard, mais s'épanouit véritablement en 1981 avec l'élection de Mitterrand. C'est alors l'apologie du "service public", des "nationalisations" et même la promotion du "Temps Libre" qui obtient même un ministère de ce nom !
On notera avec intérêt que Mitterrand - qui n'aimait pas les riches et l'argent, antienne reprise par son clone insipide trente années plus tard - fut à l'origine de la création d'une machinerie particulièrement efficace pour financer l'œuvre destructrice du PS et de ses dirigeants. J'ai nommé la société Urba Graco autour de laquelle orbitaient un grand nombre de satellites bidon plus ou moins avouables.
COMMUNICATION ET PROPAGANDE
Simultanément au noyautage de l'Education Nationale, le basculement à gauche des médias fut tout aussi pervers et insidieux. Normal. L'Education Nationale ayant fait son œuvre et formaté des générations d'élèves à la bien-pensance marxisante, les étudiants en sciences dites "humaines" (lettres, sociologie, histoire...) qui n'optèrent pas pour l'enseignement se précipitèrent dans la "communication". Un mot magique, qui fleurait bon la modernité et qui allait devenir l'arme absolue de la "boboïtude".
L'œuvre destructrice des valeurs de bon sens pouvait donc continuer, une autoroute s'offrait à la future "élite".
En libéralisant télés et les radios, Mitterrand n'ouvrait pas seulement la voie à la concurrence, mais il libérait de fait les forces destructrices du bourrage de crâne institutionnel et médiatique, tout en se félicitant - comble de cynisme - d'avoir supprimé le monopole d'état audiovisuel !
Quand on ne parle pas politique (en utilisant les "éléments de
langage" propres à bien éduquer le peuple), on abrutit le téléspectateur
avec des émissions débiles, tendance qui connait aujourd'hui son
paroxysme avec la téléréalité et les variétés insipides et bêtifiantes.
Simultanément, on refait l'histoire, on la torture, on la "plie" et on la "fige" pour qu'elle cadre dans le dogme des idéologies officielles et politiquement correctes. On créée des lois mémorielles. Mépriser la France étant devenu à la mode, le "must" devient de mépriser aussi son histoire, c'est à dire ce qui fait le coeur même de notre culture.
La France n'est plus la "terre des arts, des armes et des lois" de du Bellay, mais un pays douteux, sournois, impérialiste, violent, colonialiste, esclavagiste et même collabo pour l'histoire la plus récente. On lui chercher des poux dans la tête et le moindre de ses écarts est érigé en circonstance aggravante. Tout en trouvant toujours des circonstances atténuantes aux exactions des peuples du Sud, ex-colonisés ou ex-esclavagistes.
Le CRAN, cette organisation moralement subversive - en attendant mieux - se permet même aujourd'hui de demander des "réparations" à certains descendants de famille nantaise prétendument impliquées dans la traite négrière il y a plusieurs siècles.
En représailles, « je » propose de réclamer à tous les allogènes sub-sahariens vivants en France une indemnité forfaitaire réparatrice pour avoir dévoré nos missionnaires. Indemnité égale au montant des subventions de la France leur accorde...
Simultanément, on refait l'histoire, on la torture, on la "plie" et on la "fige" pour qu'elle cadre dans le dogme des idéologies officielles et politiquement correctes. On créée des lois mémorielles. Mépriser la France étant devenu à la mode, le "must" devient de mépriser aussi son histoire, c'est à dire ce qui fait le coeur même de notre culture.
La France n'est plus la "terre des arts, des armes et des lois" de du Bellay, mais un pays douteux, sournois, impérialiste, violent, colonialiste, esclavagiste et même collabo pour l'histoire la plus récente. On lui chercher des poux dans la tête et le moindre de ses écarts est érigé en circonstance aggravante. Tout en trouvant toujours des circonstances atténuantes aux exactions des peuples du Sud, ex-colonisés ou ex-esclavagistes.
Le CRAN, cette organisation moralement subversive - en attendant mieux - se permet même aujourd'hui de demander des "réparations" à certains descendants de famille nantaise prétendument impliquées dans la traite négrière il y a plusieurs siècles.
En représailles, « je » propose de réclamer à tous les allogènes sub-sahariens vivants en France une indemnité forfaitaire réparatrice pour avoir dévoré nos missionnaires. Indemnité égale au montant des subventions de la France leur accorde...
GOUVERNER SANS PRÉVOIR
Quand survient la chute de l'empire soviétique que personne, et surtout pas le président de l'époque, n'avait vu venir, on se précipite bêtement pour ouvrir le giron de l'Europe alors balbutiante aux ex-pays socialistes de l'Europe de l'Est, allant même jusqu'à envisager d'y accueillir la Turquie !
L'Allemagne de Kohl fait son affaire de la Prusse - c'est bien normal, elle chérissait depuis 1945 le rêve fou de la réunification - et décrète courageusement la parité DM / OstMark. Pendant que le reste de l'Union se charge d'embarquer à son bord le maximum des autres pays d'Europe de l'Est, craignant stupidement la résurgence d'un nouvel Empire Central, commettant ainsi une erreur d'appréciation de plus d'un siècle d'histoire.
Une erreur qui nous coûtera cher et qu'il nous appartient maintenant corriger. Et ce sera bougrement difficile !
Les ayatollahs unis de l'enseignement et des médias ont presque gagné leur combat destructeur. Big Brother ne se contente pas de nous regarder, il nous écoute et nous censure quand notre discours sort de la ligne officielle. S'exprimer simplement et librement est devenu impossible.
Un vocabulaire spécial est imaginé pour discréditer toute analyse
libre intégrant les notions interdites de culture, de religion, de
nation... On exige de la France, au nom sacro-saint "du pays des
droits de l'homme", qu'elle fasse repentance, mais il convient
de se taire sur les habitudes moyenâgeuses de la plupart des
pays rongés par un islam sectaire, violent et
impérialiste. "Pour ne pas stigmatiser" une population.
Voici comment le CRAN déjà cité plus haut traite notre ami Éric Zemmour, le diabolisant et demandant sa peau, pour avoir "osé" commenter publiquement, librement et avec pertinence les dernières statistiques sur l'explosion de la violence.
Voici comment le CRAN déjà cité plus haut traite notre ami Éric Zemmour, le diabolisant et demandant sa peau, pour avoir "osé" commenter publiquement, librement et avec pertinence les dernières statistiques sur l'explosion de la violence.
Pendant que ce travail de sape s'organisait à tous les niveaux de la société,
ce qu'on appelait jadis le "Tiers Monde" commençait - à l'instar de
ce qu'avait réussi le Japon dans l'immédiat après-guerre - à mettre
en place les leviers de son développement économique.
On notera d'ailleurs
à ce sujet que les mêmes bonnes âmes qui versaient dans les années soixante des
larmes de crocodile sur ces "pauvres pays d'Afrique et d'Asie du Sud Est,
minés par la famine et la misère", furent les premiers à critiquer
l'émergence de leur développement, les accusant de pratiquer le fameux
"dumping social".
Ignorant ainsi superbement que le développement de
l'ère industrielle dans l'Europe du XIX° siècle ne fut pas de tout repos
pour les enfants qu'on envoyait à la mine dès l'âge de 12
ans, ni pour les ouvriers qui travaillaient 12 heures par jour, 6 jours
par semaine, sans protection sociale, et dans des conditions de travail
que plus personne n'accepterait aujourd'hui.
Preuve, si besoin était,
de la capacité de réforme et d'adaptation du système capitaliste, qui
est, à l'image de ce que disait Churchill à propos de la démocratie,
"le pire système à l'exclusion de tous les autres qui ont été
essayés".
"Gouverner, c'est prévoir" disait Emile de Girardin il y a plus d'un siècle. Hélas, il faut bien reconnaître que les générations d'imbéciles incompétents qui nous gouvernent aujourd'hui, formatés par l'ENA, ont complètement oublié cette ardente obligation.
Gouverner, pour Hollande (comme ce fut le cas pour Chirac un autre de ses modèles), c'est ne rien faire, faire semblant, et surtout, surtout, préparer sa réélection pour profiter le plus longtemps possible des faveurs et des prébendes de la république. Mitterrand, qui n'était pas non plus un as de la prévision stratégique, s'en remettait à sa cartomancienne préférée.
"Gouverner, c'est prévoir" disait Emile de Girardin il y a plus d'un siècle. Hélas, il faut bien reconnaître que les générations d'imbéciles incompétents qui nous gouvernent aujourd'hui, formatés par l'ENA, ont complètement oublié cette ardente obligation.
Gouverner, pour Hollande (comme ce fut le cas pour Chirac un autre de ses modèles), c'est ne rien faire, faire semblant, et surtout, surtout, préparer sa réélection pour profiter le plus longtemps possible des faveurs et des prébendes de la république. Mitterrand, qui n'était pas non plus un as de la prévision stratégique, s'en remettait à sa cartomancienne préférée.
Hollande, complètement déconnecté des réalités et impuissant à
gouverner croit encore - contre toute logique - à sa bonne étoile, et
qu'il conduise la France à la ruine est le moindre de ses soucis.
Comme il l'a dit à Bourdin lundi sur RMC, il n'a plus "rien à
perdre". Même s'il s'est repris ensuite, réalisant l'énormité de sa
sortie, cet acte manqué est dramatiquement explicite : il n'y a pas
de commandant sur le France.
En réalité, c'est peut-être le peuple de France, aujourd'hui, qui
n'a "plus rien à perdre"...
Nous soutiendrons donc toutes les initiatives visant à écourter ce qui reste des 3 ans de ce détestable quinquennat.
Nous soutiendrons donc toutes les initiatives visant à écourter ce qui reste des 3 ans de ce détestable quinquennat.
Il y va de la survie de la France.
Un super article BBR, et aussi merci pour votre honnêteté. Peut être est ce aussi pour cette raison que l on vous apprécie. Cet article reflète bien toute la vérité du temps passé en suivant son évolution jusqu à nos jours. Que de changement. Plus le temps passe, plus on se rend compte à quel point on méprise le peuple. Mise à part la prestance du Général De Gaulle, avec l écroulement à travers mai 68 que l on connait, aucun président ne lui est arrivé à la cheville. Ni à droite, ni à gauche même si nombreux se prétendent gaulliste..Foutaise. Chaque année nous connaissons du pire avec le pompon de l oeuvre de mitterrand suivi par son jumeau trente plus tard. Le socialiste est la pire race de la politique que je connaisse. il se prétend social et près de nous, mais il nous assassine, nous enfonce, nous engouffre dans le néant d où il est difficile de remonter. Il tue les classes petites et moyennes, celles qui vont vivre les riches et les pauvres, et eux par conséquent. Tous les politiciens se servent sur notre compte, ils se gavent se remplissant les poches, possédant d immenses bien et en plus ils pleurent, quelle honte. Ils sont allés jusqu à nous faire croire qu ils allaient baisser leur salaire de 30%. Foutaise. C est anticonstitutionnel mais plus personne l a évoqué et surtout pas les journalistes défiscalisés de 30% grâce à hollande minus. Il me dégoutte tous.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si notre vote du 25 changera quelque chose, mais je voterai FN rien que pour les emmerder tous.
La Normande
• Il y a si longtemps que la théorie du genre est entrée dans les mœurs, non pas dans sa portée sexuelle, mais dans une portée plus générale, morale, intellectuelle, spirituelle, philosophique, culturelle et bien sûr politique, celle qui veut que la vérité ou le mensonge sont la même chose au même titre que le bien et le mal : il n'y a qu'à décider du "genre" de la chose. 1968 en fut, d'une certaine manière, le point de départ officiel Personne n'osa alors combattre de face l'émergence de la relativité "positive" qui se lova dans les tuyauteries de la société française, jusque-là plus exigeante. L'ENA en fit sa jurisprudence et les coquins aussi, qui voulurent être considérés comme d'honnêtes personnes tandis qu'ils entendirent désigner à la vindicte publique les honnêtes gens dont le "genre" pouvait ternir leur éclat. De même l'incompétence ou la compétence ne furent plus qu'une appréciation de genre, et il ne resta plus aux réseaux mafieux qu'à se prévaloir du statut de chapelles, voire d'église. Les racines du mal, en réalité, remontent très loin et se résument à la formule "non serviam". Puis il se fit que la conception du péché originel - c'est-à-dire la dose de connerie qu'il y a en chaque homme (avec toutes les différences possibles dans la déclinaison des choses) - se transforma peu à peu en brevet de bon genre. Enfin, il arriva que, comme en 1792, la République chère aux délirants "amis du peuple" d'alors, coupeurs de têtes cela va de soi, reprit son souffle dans une société plus ou moins victime du progrès technique, puisque celui-ci fait oublier à l'homme qu'il est bien peu de chose et que ce n'est que caquet rabattu qu'il est le plus grand. Mais ce n'est guère au goût du jour, et les racines du mal, tel que les décrit l’auteur en sont devenues peu à peu à la fois le tronc et les branches. C'est pourquoi les réseaux mafieux qui ont métastasé les institutions aiment à penser qu’éclosent en leurs rangs toutes les formes d'honneur, ce qui provoque chez eux d'irrésistibles poussées de bonheur, comme cela ne se voit que trop.
RépondreSupprimerTous ceux qui sont un tant soit peu informés ou prennent le temps de le faire, hors des "merdias" vendus à la gauche pourrie, devraient savoir ce qui leur reste à faire.
Le gros mou a déjà ouvert la porte au report de la date des élections régionales pour éviter la débâcle complète du PS. Trop tard, connard, le mal est fait.....Après, ce sera quelle autre manœuvre pour essayer de te maintenir coûte que coûte aux manettes ?
Bravo à Zemmour pour ses positions contre le CRAN : lui au moins en a (du cran).
Permettez-moi, BBR, et les lecteurs du blog, de rendre hommage à un frère d’arme, le sergent KALAFUT, d’origine Slovaque, engagé dans la Légion étrangère en 2007, et tué au mali, par des terroristes islamiques ( ?), comme sept autres frères depuis le lancement le 11 Janvier 2013 de l’opération militaire française Serval.
Sur sa tombe, on lira « Mort pour la France » ( ?)
Repose enfin en paix mon frère. Légio Patria Nostra
@
Votre honnêteté vous honore BBR, cet article est superbement écrit, il retrace un peu beaucoup le déroulement de notre vie avec certains bons côtés mais aussi les mauvais que nous font subir tous les politiques. Ce sont eux et les grands financiers ceux du cac 40 et autres richissimes intouchable, avec les grandes banques qui mènent la barque et qui nous mènent en bateau. Je n arrive même plus a croire aux faillites des banques, tout n est que magouille et escroqueries aux assurances.
RépondreSupprimerLe monde et l avenir n appartiennent pas au gens qui se lèvent tôt mais à ces riches toquards menteurs qui savent profiter des faibles et des honnêtes. La Normande à bien raison dans son commentaire. Et le 25 Mai, si le FN devait n avoir que deux voix, il aura la sienne et la mienne. J en ai assez de voir le gâteau se partager en deux en UMPS et comme le centre ne vaut guerre mieux., Quant au front de gauche, on voit son pouvoir sur le terrain pour lutter contre hollande et son gouvernement qu ils ont fait élire. Inutile d en parler. Quelle efficacité. Mon vote est déjà prêt même si le résultat ne sera pas celui que j espère.
Olivier TREQUEL
Une fois encore Merci BBR, super article, très enrichissant, le déroulement des faits est génial. Les commentaires de La Normande et Olivier démontrent le profond dégoût de ce que nous vivons. Il est vrai que nous subissons tout, nous sommes sanctionnés, punis, destinés à payer toute notre vie. Quand ja i entendu valls parler hier soir aux JT de 20 Heures, de l Europe, des impôts, qu il avait de la peine pour ce pauvre boulanger à qui on avait doublé ses impôt ou pour ce brave retraité vivant avec 382 euros par mois. Il trouvait ça dur et injuste. Il me donnait la nausée et toujours avec son flegme très hautain, il disait que tout cela allait changer. Tu parles.
RépondreSupprimerIl change toujours tout avec la bouche quand il s agit que nous allions aux urnes pour les élire, (des pipeaux) mais lorsqu ils sont élus, ce n est plus la même chanson, aucune promesse n est tenue, ils se renvoient mutuellement la balle, disant que c est la faute de leurs prédécesseurs. Alors de grâce qu ils arrêtent ce cirque auquel nous ne croyons plus. et de 3 voix pour le FN plus la famille.
André BERGERAC
J apprécie cet article qui représente notre cheminement, bravo et merci à BBR qui ne fait pas sien les écrits des autres tout en sachant nous les faire partager.
RépondreSupprimerJ encourage donc tous les lecteurs à faire connaitre ce blog à leur entourage..
Que de changement et que de souffrances se sont profilés à travers le temps, pour en arriver au point où nous en sommes. Le Désastre dans lequel nous a plongé le socialisme est le pire de tout. Jamais un président n a causé autant de dégâts, jamais un président n a été autant la risée du monde, jamais aucun président ne nous a fait connaitre autant d austérité, jamais aucun président n au eu autant de mépris pour le peuple en le pressant d impôts et de taxes, jamais aucun président ne s est foutu de notre justice en nommant ministre une indépendantiste qui protège les taulards au mépris des victimes. Jamais un président n au eu en un an une côte d impopularité aussi basse prouvant sa nullité et son incompétence.
Moi aussi je le méprise comme j ai méprisé mitterrand pour tout le mal qu il a fait.Je les hais.
Maurice SEPERS
Je remercie BBR pour son honnêteté sur cet article que je trouve excellent. Pour moi l auteur est une super plume. Le cheminement est super et si vrai qu on peut le revivre. Je suis d accord avec tous les commentaires qui viennent de paraître. Le mal est fait, il germe et ce depuis longtemps, le problème est l absence d antibiotique. Seul une nouvelle révolution pourrait nous guérir de tous nos maux.
SupprimerJe ne sais même plus si je peux avoir confiance en des élections où personne ne nous écoute. Ni nos gouvernements Français , ni les Députés Européens. Ils font bien comme ils veulent et se foutent de notre avis. Ils font semblant de se battre mais ensuite ils vont tous bouffer ensemble. Ecoeurant.
Simon LAVILLE
Cet article BBR,est bien construit.
RépondreSupprimerTous vos commentaires,mes amis du blog, touchent tel Icare à la Vérité,et je me souviens d'une prophétie du Pape Léon XIII(décédé en 1903) qui avait eu dans son Église la vision de Notre Seigneur et de Satan:
La voix gutturale de Satan dans son orgueil,criant au Seigneur:"Je peux détruire ton Église"
La voix douce du Seigneur"Tu le peux.."
Satan:"Pour cela j'ai besoin de plus de temps et de pouvoir."
Notre Seigneur:"Combien de temps,combien de pouvoir?"
Satan 75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service."
Notre Seigneur:"Tu as le temps,tu auras le pouvoir.Fais avec cela ce que tu veux."
Fleur de lys.
NB,merci @ je me joins à vous pour rendre hommage au sergent Kalafut,mort pour la France à 26 ans,sincères condoléances à la famille.
Chers amis du blog,
RépondreSupprimerMon commentaire vient après tous les vôtres et du coup, tout a été dit :
Sur le déclin de notre pays, sur la destruction de ses forces vives par tous les minables qui ont pris les rênes du pouvoir, sur la saleté de nos dirigeants, sur l'espoir que nous avons que le 25 mai, tous ces connards prendront la déculottée...
Et je crois même ce que dit Fleur de lys, à savoir que Satan est maître du jeu...actuellement !
Mais Dieu est grand et Il ne laissera pas ces pourris qui volent, se gavent, encouragent la perte des valeurs et de la morale, profiter de leur triomphe. La justice immanente existe !
Quant au sergent mort pour la France, je m'associe à la douleur des siens. Respect.
Mais je ne suis pas sûr qu'il soit mort pour la France mais plutôt pour défendre les intérêts de certains.
L'Indien.