LA FRACTURE IDENTITAIRE.
Valeurs actuelles du 17 avril a publié un sondage montrant que pour 75 % des Français le fait le plus grave de la période socialiste que nous vivons est la perte de l'identité nationale.
Il faut dire que depuis deux ans ils ont mis le turbo, les socialos, et que les signes de l'asphyxie de la nation abondent.
Il y a l'abandon ou la négation de certaines valeurs fondatrices de la République, comme le patriotisme qui fut pourtant exalté de 1789 jusqu'au milieu du siècle dernier, de Bonaparte à Jaurès et Clémenceau.
Il y a aussi le renversement d'autres valeurs, comme le travail et la famille qui ont contribué au magnifique développement démographique et économique de la France, jusqu'à l'arrivée au pouvoir dans les années 75-80 d'une nouvelle noblesse issue des classes les plus éduquées et les plus riches du peuple français, les énarques et les Sciences Po.
C’est à partir de là que tout a commencé à déraper. Il y a eu la mise en pratique de théories économiques, comme le keynésianisme : il recommande à l'État de s'endetter pour créer de l'activité qui générant du travail et des recettes fiscales permet la résorption de la dette et à terme le progrès de l'économie.
Seulement, soit les énarques n'ont pas bien compris le principe, soit ils l'ont intentionnellement perverti : ils ont utilisé l'endettement de l'État non pour financer des activités productives, mais de la fonction publique, salaires et investissements non productifs.
Puis, constatant que la dette ne se résorbait pas toute seule, ce qui apparaissait évident aux économistes libéraux, ils ont appliqué une seconde théorie économique, celle du sapeur Camember. Le déficit s'étant creusé à l'excès, pour le combler on creuse un deuxième déficit pour rembourser la dette du premier. Ce qui explique qu'aujourd'hui le seul remboursement de la dette contractée par l'État dépasse et de loin les recettes de l'impôt sur le revenu.
De cette science économique perverse des énarques, dont François Hollande et Michel Sapin sont l'illustration moderne, les Français ont pris conscience, au moins ceux qui ne vivent pas du pompage de l'argent public (fonctionnaires, syndicalistes, associations et autres intermittents du spectacle).Les Français prennent également conscience de ce que le socialisme doit être distingué du social, bien que la racine soit la même.
Être social, c'est pouvoir parler aussi bien à un ouvrier qu'à un ministre avec franchise, sans complexe et en bon français pour être bien compris.
On connaît le peuple et l'on connait aussi avec sa chair - pas seulement par les livres et la presse comme tant de socialistes - les difficultés qu'il vit quotidiennement parce qu'on les a vécues soi-même.
Etre socialiste, c'est croire que l'on peut faire du social en appliquant une idéologie inventée par des intellectuels trop souvent fumeux, comme Lénine dans sa belle maison de Zurich où il attendait la révolution socialiste qui, selon sa théorie, devait inévitablement se produire en Suisse, pays très riche et très industrialisé, et non en Russie comme il l'a écrit*.
Ou encore la théorie du genre entièrement conçue dans les confortables bureaux des universités israéliennes et américaines par un psy fou d'une part - il a poussé le jeune garçon qui lui servait d'animal expérimental au suicide après l'avoir castré - et une bande de gouines enférocées par leur désir de revanche sur le mâle d'autre part.
Et ces théories, le socialiste les explique dans un patois de langue de bois mâtinée de globish. La prise de conscience de la destruction planifiée de la perte de l'identité française s'est renforcée récemment de plusieurs événements de gravité variable mais significative dans tous les cas.
Les élections en France donnent lieu à des campagnes de propagande par affichage qui sont très réglementées.
Mais la France accueille aussi des élections étrangères. Pour l'élection de leur président par les Américains résidents en France par exemple, qui se passe dans la discrétion et le respect de nos lois, et dans les locaux des représentations diplomatiques.
Par contre pour les récentes élections à la présidence algérienne qui ont permis l'élection cocotier du dictateur-débris Abdellaziz Bouteflika (gros client de la Sécurité sociale à laquelle il doit près de 6 millions d'euros) le gouvernement socialiste a toléré l'ouverture de 208 bureaux de vote en France, dont 8 dans Paris et 16 en Seine-Saint-Denis (93).
De plus, le préfet Bouricot, (celui qui compte un manifestant de droite quand il y en a dix), a laissé faire dans les quartiers Nord-est de Paris une campagne sauvage d'affiches politiques étrangères, puisqu'algériennes, avec les portraits de Boutef' et de son concurrent Ali Benflis.
Les partisans de Bouteflika ont de plus couvert d'affiches immondes les murs de l'église Notre-Dame-Réconciliatrice sans encourir la moindre sanction.
Silence étrange des autorités, car si des affiches de Marine Le Pen ou de la très chrétienne Christine Boutin avaient été collées en des circonstances similaires sur une mosquée, on eût entendu toute la gauche médiatique et gouvernementale hurler à la lune et au sacrilège raciste, islamophobe et "nauséabond». L’élection à l'Académie française d'Alain Finkielkraut, juif d'origine polonaise et pur produit de la méritocratie à la française qui est tout le contraire de la très raciste "préférence ethnique", a donné lieu elle aussi à une démonstration de la volonté de la gauche de démolir l'identité française.
"Finki", quoique étranger d'origine, a réussi à devenir professeur à la prestigieuse université de Berkeley, puis à Polytechnique, preuve qu'un étranger s'il respecte nos lois, nos coutumes, travaille et veut s'intégrer, peut parfaitement réussir en France comme à l'étranger.
Ils sont des milliers dans ce cas : Montand, Aznavour, Moscovici, Sarkozy, Belkacem, Dati, Valls, Naouri… que ce soit dans le spectacle, la politique, les affaires, la culture ou, comme Finki, dans la philosophie.
Il s'est pourtant trouvé une bande de rastaquouères de gauche, à l'Académie, dans la presse subventionnée et au gouvernement, pour juger que Finki ne méritait pas cette élection, heureusement réussie cependant, car il se trouve beaucoup plus de gens intelligents qui lui ont donné la majorité des votes à l'Académie que dans la majorité de l'Assemblée nationale.
Que reprochent-ils à Alain Finkielkraut ? Son immense, et courageux - étant donné les circonstances -, attachement à la France qui l'a accueilli et à ses valeurs, les vraies, pas celles frelatées des socialistes, et sa formidable défense de la francophonie.
Incroyable, écrit V.A. "un philosophe de 'sang mêlé' qui, en osant prendre la défense des 'Français de souche' représente davantage l'opinion majoritaire dans le pays que ces quelques habitués du Café de Flore, auteurs à son encontre d'une cabale insupportable».
Les Français s'inquiètent aussi de leur Éducation nationale qui, incapable d'enseigner la lecture, l'orthographe et le calcul à leurs enfants les abêtit par un absurde pédagogisme tout droit hérité des théories du communisme stalinien des années 50 dont Peillon, Hamon et leurs amis syndicalistes sont les porteurs.
Et ils s'inquiètent de plus en plus d'un islam qu'on leur présente comme porteur de paix et de tolérance mais qui se montre partout agressif et intolérant, devant lequel toutes les institutions publiques s'inclinent avec une facilité déconcertante. Lorsque Manuel Valls, sinistre premier ministre nous affirme que "l'islam est compatible avec la démocratie", les Français voient les charcuteries remplacées dans les villages par des boucheries halal, les écoles par des mosquées financées sur fonds publics, des jeunes français partir faire le djihad en Syrie pour s'entrainer à égorger les infidèles chrétiens, juifs et musulmans non sunnites (la majorité des musulmans en France sont sunnites).
Et ils se demandent si ceux qui voient le "grand remplacement " du peuple français "de souche" par un peuple multiculturel majoritairement africain n'ont pas raison.
Ajoutez à cela que les chrétiens viennent de fêter Pâques, comme les juifs ont fêté leur Pâques à eux, Pessah, et que l'on n'a pas entendu un seul mot d'une autorité française pour ne serait-ce que signaler ou s'associer à ces célébrations.
Par contre le ramadan et l'aït el-kébir donnent lieu à des déclarations d'amour du gouvernement, à un affichage sauvage par panneaux lumineux de la mairie de Paris, et à la participation une fois du président, une autre du premier ministre à la commémoration de ces fêtes musulmanes bien sanglantes de l'égorgement rituel de milliers de bêtes.
Notre beau pays est devenu la poubelle du monde grâce à nos gouvernants successifs et pas seulement ceux qui sont en place aujourd'hui. Il est vrai que ceux-ci tiennent le pompon !
RépondreSupprimerAu fil des années et des lavages de cerveaux, le Français ne sait plus ce qu'il est, ce qu'il a été, ce qu'il doit être, tant il est vrai que celui qui ne sait d'où il vient ne peut savoir où il va.
Sous couleur de justice sociale, on le plume.
Sous couleur de multiculturalisme, on lui fait perdre ses racines et ses valeurs.
Au prétexte d'européanisme on lui prend son travail pour le donner à d'autres.
Mais quand réagirons nous en cessant, au moins, de voter pour les cons qui nous ont mené à la ruine ?
Nous n'avons pas besoin de politiques. Nous avons besoin d'Hommes.
L'Indien.
« Pour 75% des Français, le fait le plus grave de la période socialiste que nous vivons, est la perte de l'identité nationale »
RépondreSupprimerPourtant selon un autre sondage récent, seulement 36% des Français sont certains d'aller voter le 25 mai.
Et les futurs votants, (soyons optimistes, arrondissons la participation à 40%, soit un peu moins de 18 millions de suffrages), comment comptent-ils exprimer leur volonté de retrouver leur « identité nationale » ?
Selon les divers sondages, entre 21 et 24% voteront FN, à la louche 2 % pour DLR et autres listes patriotes et identitaires, les autres se répartissant entre L'UMPS, ses alliés, l'extrême-gauche, etc. Résultat : un quart de 40% des électeurs.
Ce qui nous fait, 10% des électeurs décidés à faire un petit geste pour défendre leur identité nationale. ! ! ! ! ! SUPER.
En bref : ...... 75 % des Français s'inquiètent .....MAIS 70 % ne RÉAGISSENT PAS ... !..
Espérons qu'ils seront 75 % à se bouger le cul, le 25 mai .....!
Pas de quoi se réjouir ! Même pas une petite érection.
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Effectivement comme vous le dites l Indien, on se pose de plus en plus de questions, sans trop savoir où nous en sommes. Nous savons que nous sommes nés, nous savons que nous allons mourir, mais sans savoir ou l on va pendant que l on vit. Tout cela est bien triste. Pour répondre aussi a @, je suis bien d accord avec lui, moi j irais voter, et je sais pour qui, certainement pas pour tous ces connards qui nous bouffent la vie.
RépondreSupprimerLa Normande
Je constate une fois encore que nous sommes sur la même longueur d onde
RépondreSupprimerNos commentaires se font de plus en plus virulents dut tous ses sujets fâcheux qui ont le don de nous exaspérer tant nous subissons. Pour le 25 mai, mon choix est fait depuis longtemps et comme le dit si bien La Normande, mon bulletin ne privilégiera pas tous ces idiots qui nous gouvernent, ni même ceux qui nous ont gouvernés. Qu ils aillent tous au diable.
Olivier TREQUEL
Nous n avons pas fini de voir l impensable. Nos chutes sont de plus en plus dures, mais que lorsque je vois des listes et des listes et des listes de personnes qui se présentent aux européennes, je me dis que là aussi les places sont bonnes a prendre, et que dans l immédiat nous sommes a la botte de l Europe, mais nous attendons tous l heureux événement comme nous avons attendu le Messie.
RépondreSupprimerAndré BERGERAC
Il faut contrôler et réduire les entrées sur notre sol. La France porte le nom généreux de terre d accueil, mais cela est juste par intérêt, nous sommes surtout les couillons de cette terre.
RépondreSupprimerTout cela est de la faute de nos politiques, et uniquement la leur. Il est vrai que les Français ne se bougent pas beaucoup préférant s accordé des vacances, mais avant me semble t il lorsque la droite était aux commendes, les gros nazes de syndicats se bougeaient un peu plus le cul.. Maintenant quand ils font une manif, on dirait qu ils ont une fleur à la main alors qu il leur faudrait un fusil.
RépondreSupprimerNe vous inquiétez pas @ moi aussi je sais pour qui voter le 25.
Simon LAVILLE
Comment a t on pu ouvrir nos frontières de la sorte ?? et Pourquoi ?? Avons nous autant besoin de main d oeuvre étrangères ? Est ce pour leur donner notre argent avec générosité ?? Sommes nous pas assez en France à avoir des besoins ? DU TRAVAIL... DU SOCIAL, nous aussi nous avons besoin, et pendant qu on leur donne à eux c est nous qui n avons rien. L indien a dit il nous faut des hommes à la tête de la France, pas des couilles molles avec des sigles à la con qui ne veulent plus rien dire. PS : Partie de Saligots - UMP - Union de Manchots professionnels -
RépondreSupprimerJean BOUVARD
Sans vouloir est pessimiste, je ne suis même pas sur que le résultat des Européennes changera quelque chose. Tout a été fait pour que rien ne change et que tous ces politiques profitent de nous un long moment.
RépondreSupprimerNous sommes dans un cercle infernal, d où il est difficile de sortir, nous n avons pas de superman, spîderman, wonderwooman, ils ont bien tissé leur toile et elle a l air solide.
RépondreSupprimerZ@vor
C est au départ c est à, dire avant qu il fallait agir, souvent après c est trop tard, quand le vin est tiré il faut le boire... Essayons d y croire encore ... Allez les amis RDV au 25 MAI POUR UN VRAI CHANGEMENT.
RépondreSupprimerPaul BRELOCQ
à l'attention d' ANONYME.
RépondreSupprimerJe rebondis sur votre commentaire pour vous dire au combien je partage votre inquiétude. Effectivement, il est paradoxal que des antis "Europe" se présentent aux Européennes. Pour empêcher les autres de faire n'importe quoi ? Peut être, surement même.
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