VISIBLEMENT UNE SUPPRESSION DE L IMPÔT SUR LE REVENU NE POURRAIT ETRE QUE BÉNÉFIQUE
SUPPRIMER L'IRPP !
Pour la suppression complète de l’IRPP (Impôt sur le
Revenu des Personnes Physiques)
En l’espace de quelques mois, les conséquences de cette suppression seraient les suivantes :
- Augmentation importante du pouvoir d’achat de
tous les contribuables imposables sur le revenu, soit plus de 50 % des
foyers français.
- Augmentation immédiate de la consommation et des
placements-investissements de tous ces contribuables exonérés, qui
représentent la partie la plus aisée de la population.
- Rapatriement rapide et spontané des exilés
fiscaux et de leurs capitaux, ainsi que des jeunes entrepreneurs expatriés
volontairement.
- Afflux sur le territoire français de sièges
sociaux d’entreprises étrangères ainsi que de leurs dirigeants rémunérés
en France.
- Augmentation immédiate du chiffre d’affaires de
toutes les entreprises et de la TVA perçue, entraînant une récupération
par l’Etat de son « cadeau fiscal » au rythme de près de 20 %
par mois, soit une récupération atteignant en fin d’année environ 95 % de
l’impôt sur le revenu non perçu.
- Augmentation immédiate de l’investissement et de
l’embauche par toutes les entreprises en progression de chiffre
d’affaires, ceci entraînant une diminution importante et rapide du
chômage.
- Afflux de cotisations dans les caisses
d’assurance-chômage, caisses de retraites et caisses de Sécurité sociale,
d’où réduction importante de leurs déficits.
- Disponibilité des fonctionnaires actuellement
chargés de la perception et du contrôle de l’impôt sur le revenu et
pouvant être affectés à d’autres services de l’Etat manquant de personnel
(police, justice, etc.)
- Disponibilité des locaux occupés par les centres
des impôts et pouvant être transformés en logements sociaux, en maisons de
retraite ou en maisons d’arrêt, qui font cruellement défaut.
À tous ces avantages matériels, il convient d’ajouter un avantage psychologique non évaluable financièrement mais très important : la disparition chez les contribuables du « stress de l’impôt », c’est-à-dire du souci de son calcul, de la corvée des paperasses, de la crainte de contrôles inopinés et d’erreurs risquant d’être interprétées comme fraudes, ainsi que de la frustration permanente causée par le sentiment de voir une partie de ses efforts personnels détournée vers des dépenses étatiques pas toujours comprises et souvent même désapprouvées.
Ce soulagement des contribuables aurait un
impact positif réel en termes de confort mental et de santé publique. Il
favoriserait indubitablement l’optimisme, le dynamisme et l’esprit d’entreprise
des citoyens, libérant de façon spectaculaire les capacités créatives du peuple
français, qui sont potentiellement immenses.
Aujourd’hui, nul ne l’ignore, nous
sommes réputés être un peuple de pessimistes, de grincheux, de râleurs et de
désabusés. Cette triste réputation disparaîtrait en peu de temps et la France
retrouverait son antique surnom de « pays de la douceur de vivre ».
Historique de l’impôt sur le revenu
(1914-2014 centenaire d’un racket
étatiste)
La paternité de l'impôt sur le revenu en France est attribuée à Joseph Caillaux, ministre des finances du gouvernement de Georges Clemenceau, qui déposa le 7 février 1907 un projet de loi instituant cet impôt. Mais ce projet était en fait présenté et soutenu par le « cartel des gauches » et sa motivation réelle était de persuader les électeurs que, grâce à la progressivité de cet impôt, on allait « faire payer les riches » en épargnant les autres. Il ne fut finalement adopté que le 2 juillet 1914.
Cet impôt inutile et purement démagogique a été maintes fois présenté comme étant plus juste que tout autre, au prétexte qu’en exonérant de son paiement les bas revenus et en l’augmentant progressivement pour les hauts revenus, il était le garant d’une redistribution partielle des richesses et favorisait une certaine égalité sociale.
Or, cet argument fallacieux est démenti par la
réalité des faits économiques, car il pénalise les foyers qui seraient les plus
capables d’investir dans l’industrie une part importante de leurs gains, et qui
pourraient ainsi favoriser la prospérité générale en maintenant le plein emploi
et des salaires décents. En fait, l’impôt sur le revenu affaiblit aujourd’hui
toute l’économie et, paradoxalement, porte un tort considérable... à ceux qui
ne le paient pas.
L’impôt sur le revenu repose sur le refus d’admettre une réalité fondamentale : Chaque foyer doit assumer en priorité un certain nombre de dépenses basiques : logement, nourriture, vêtements, énergie, chauffage.
Et c’est seulement lorsque ses revenus excèdent notablement ces dépenses incontournables
que le foyer peut disposer d’un « bénéfice », donc d’une certaine
capacité d’investissement.
Or, c’est précisément cette capacité que l’impôt
progressif sur le revenu vient frapper de plein fouet et souvent même anéantir,
paralysant du même coup le développement de la prospérité nationale, effet
pervers dont les foyers modestes sont finalement les premières victimes.
Pierre Lance
Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages de philosophie, sociologie et histoire, dont notamment : Savants Maudits, Chercheurs Exclus (4 tomes – Guy Trédaniel, Éditeur) – Le Fils de Zarathoustra (Éditions Véga) – Alésia, un Choc de Civilisations (Presses de Valmy) ainsi que d’une multitude d’articles de revue.
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Contact : pierre.lance@wanadoo.fr
Encore un fois, l'IRPP n'a qu'un siècle d'existence. Par ailleurs, il ne représente qu'une faible part des recettes de l'Etat. L'impôt sur la consommation, par exemple (la TVA) représente plus de 2 fois plus de recettes que l'IRPP ! Et il faudrait ajouter encore l'impôt sur les bénéfices des sociétés, les prélèvements sur le capital (ISF), sur la transmission du capital (plus-values, droits de successions, transactions financières...), et les inévitables prélèvements sociaux. N'oubliez pas non plus que le gouvernement Rocard a institué la CSG, impôt universel à taux unique, qui frappe tous les revenus de manière identique (et que la gauche idéologue rêve de supprimer pour taxer un peu plus les 50 % de foyers assujettis à l'IRPP). Bref, l'IRPP est un moyen parmi d'autres pour l'Etat de taxer les citoyens, et pourrait parfaitement être supprimé sous la condition de :
RépondreSupprimer1 / Mieux gérer l'Etat, en optimisant ses coûts d'intervention
2 / Répartir l'éventuel manque à gagner sur d'autres sources, comme la Tva par exemple.
Il s'agit bel et bien d'une politique délibérée de taxation du travail, qui est loin d'être inéluctable, et l'article de Pierre Lance est parfaitement pertinent.
@
"I have a dream"
RépondreSupprimerComme Martin Luther King, j'ai fait un rêve : hollande, pour assurer sa réélection en 2017, décidait de supprimer l'impôt sur le revenu.
Pour compenser ce manque à gagner, il supprimait le Sénat et ses dormeurs, il diminuait de moitié les députés, les ministres, il taxait les transactions financières, faisait la razzia sur les paradis fiscaux, cessait d'accorder des aides pharaoniques aux associations bidons... Bref ! La France était devenu un Paradis et hollande, acclamé par la foule des 50% de payeurs d'impôt, était acclamé partout, au lieu d'être sifflé comme actuellement.
Las ! Le lendemain même, il était assassiné par les banquiers. Toutes ses femmes assistaient à ses obsèques et tous les bénéficiaires de ses largesses passées pleuraient à chaudes larmes.
C'est alors que je me suis réveillé, toutes les bonnes choses ayant une fin.
L'Indien.
Alors là, c est vous qui allez me faire rêver l Indien.et pour être franc, je vois même ce monospace noir circulant sur les Champs Elysées acclamé par la foule, bon allez pas la peine de rêver une fois encore BBR
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